Tiraillésentre l'envie de la réconforter et de la secouer, ils sont guettés par le sentiment d'impuissance et l'épuisement. En s'informant sur sa maladie, l'entourage peut mieux soutenir le déprimé sur la durée, sans sombrer avec lui. Cette nouvelle édition, entièrement mise à jour, est le premier volume de la série "J'ai envie de comprendre".
Autreslivres de l'auteure dans la collection «J'ai envie de comprendre» : - La dépression - Les allergies - La dépendance au tabac. Pr Guldo Bondolfi Professeur assossié de psychiatrie à la faculté de médecine de l'Université de Genève et responsable du programme pour les troubles anxieux dans le Service des spécialités psychiatriques des HUG. Ses intérêts cliniques et de
etj'ai à peine envie de vivre la dépression est une ombre qui vit en moi; Les morceaux de poésie les plus célèbres sur la dépression . L'écriture ou la lecture de poèmes distrait généralement des choses qui nous dérangent, il est donc logique que tant de gens trouvent réconfort, réconfort et paix dans la poésie. Vous trouverez ici de grands poèmes sur la dépression de poètes
Télécharger1000 Chef-d'œuvre des Arts décoratifs PDF. Télécharger 56 - Tome 1 : L'État français complice de groupes criminels PDF. Télécharger 70 tests pour mieux se connaître PDF
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ZY8g. Comment gérer la dépression au quotidien ? Les prémices, des symptômes, les médicaments une madmoiZelle vous raconte tout. — Article publié initialement le 22 novembre 2011 Les prémices la crise d’ado Comme à peu près tout le monde, en quatrième, j’étais mal. Mal dans ma peau, mal dans ma vie. Je passais mes week-ends et mes soirées à lire, les pieds sur le radiateur, face à la fenêtre, emmitouflée dans ma couette comme dans un cocon. Souvent, je restais là , sans rien faire, mon livre dans les mains, pour donner l’illusion à mes parents que j’étais occupée. Mais ce que je regardais, c’était le ciel, gris dans mes souvenirs ou noir pendant la nuit. Je regardais le ciel, et je voulais disparaître. Je ne dis pas que je voulais mourir, bien que l’idée m’ait traversé l’esprit, mais que je n’aie jamais été jusqu’à la mettre en œuvre. Non, je voulais juste… cesser d’exister. Et je me laissais couler peu à peu, au chaud dans mon cocon, recroquevillée aussi à l’intérieur. Au moindre contact humain, avec mes parents ou mes camarades de classe, l’émotion me submergeait envie de pleurer depuis, j’ai dans ma famille la réputation d’être hypersensible », de m’enfuir et surtout, surtout, cette peur terrible, cette angoisse irraisonnée. À lire aussi Comment j’ai appris à accepter mon hypersensibilité Ça a duré environ deux ans. Mon entourage a mis ça sur le compte de la crise d’ado. En vérité, je me rends compte aujourd’hui que j’avais tous les symptômes de la dépression Fatigue et sentiment permanent de n’avoir aucune énergie ni aucune force pour quoi que ce soit Tristesse immense, envahissante Alternance entre périodes d’insomnies et périodes d’excès de sommeil Dévalorisation constante Je ne sers à rien, je suis nulle, personne ne m’aime » Culpabilité à propos de ces émotions C’est vrai, moi j’ai de quoi manger et un endroit où vivre, c’est le syndrome de la pauvre petite fille riche, je n’ai pas le droit de me sentir aussi mal sans raison » Crises d’angoisse Peur permanente de tout Confusion intellectuelle, avec l’impression que mon cerveau avance dans des sables mouvants et la moindre contrariété qui se transforme en problème énorme et insoluble. Bien évidemment, à l’époque, je n’en ai parlé à personne. Principalement à cause de ce sentiment de culpabilité. Ma mère fait partie de ces personnes qui ne se plaignent jamais, ne vont jamais chez le médecin, ne s’écoutent pas. Quand j’étais malade, elle me disait Arrête ton cinéma ». Comment pouvais-je lui parler de mon mal-être ? Elle ne m’aurait pas écoutée, ou se serait moquée de moi. Alors j’ai vécu, ou survécu, comme je pouvais, et finalement, à mon entrée au lycée, j’avais retrouvé le goût de vivre. Ma première dépression sans médicaments En deuxième année de master, je vivais en colocation avec mon frère. La cohabitation était difficile, surtout depuis qu’il avait décidé d’installer sa petite amie à l’appart sans me demander mon avis notons qu’il devait passer dans ma chambre pour aller dans la sienne espace vital de rêve. Le stress des études, le fait de cumuler master, petit boulot et recherche de stage, le fait aussi que mon copain de l’époque habite à l’autre bout de la France… Petit à petit, je me suis laissée couler, et ma bonne vieille meilleure ennemie, la dépression, est revenue me hanter. Comme je m’en aperçois maintenant, c’est l’hiver qui en est le premier déclencheur. Comme tout le monde, je suis sensible à la baisse de lumière, à ces jours qui raccourcissent, à ce froid et à ce ciel gris et maussade Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle », c’est pas moi qui l’ai inventé. Peu à peu, la déprime hivernale habituelle s’est changée en dépression. Je dormais en cours. Je pleurais en moyenne cinq fois par jour. Je me souviens du réveillon de Noël de cette année-là j’ai pris le train pour rentrer chez mes parents et j’ai pleuré dans le train, tout le long du trajet, alors que les fêtes de Noël avaient toujours été un plaisir pour moi. En février, c’est à ma gynéco, au Planning Familial une femme exceptionnelle, à l’écoute, je la remercie encore du fond du cœur aujourd’hui que j’en ai parlé, en pleurant à chaudes larmes, moi qui n’étais venue que pour un renouvellement d’ordonnance contraceptive. À lire aussi Sonia Eguavoen et Anthony Agbele, deux sages-femmes féministes qui font DU BIEN ! Elle m’a dirigée vers l’assistante sociale, avec qui j’ai eu quelques rendez-vous. Le médecin que j’ai vu ensuite m’a proposé des médicaments. Mais les antidépresseurs me faisaient et me font toujours très peur produits puissants, peur de devenir dépendante, sentiment d’échec un médicament pour quelque chose qui n’existait que dans ma tête, ça me paraissait idiot. Finalement, après un déménagement, j’ai retrouvé peu à peu un équilibre, sans médicaments. Mais voilà saviez-vous que lorsqu’on a fait une dépression, on est beaucoup plus vulnérable à une autre ? En gros, la dépression est une maladie chronique… Deuxième dépression avec antidépresseurs En décembre 2010, je travaillais pour un directeur dont le comportement était à la limite du harcèlement moral. Ma famille à l’autre bout de la France me manquait. Et c’est là que mon copain de l’époque, pour qui j’avais déménagé loin de ma famille pour trouver du boulot plus près de lui, a décidé de me tromper avec son ex pour qui, je m’en suis rendu compte plus tard, il avait toujours eu des sentiments depuis leur séparation. Trahison, mensonge. Tout s’écroulait autour de moi. Je ne vous fais pas un dessin la dépression est revenue. J’ai démissionné. Je suis retournée vivre chez mes parents. Mais la cohabitation était houleuse je ne me suis jamais aussi bien entendue avec eux que lorsque j’étais à l’autre bout de la France et la dépression s’était cette fois bien installée. À lire aussi 4 signes montrant qu’il est grand temps de quitter le domicile de vos darons Je n’arrivais à faire aucune démarche, ni à chercher du travail. Ma mère ne comprenait pas mon attitude, elle me trouvait paresseuse, pensait que je me la coulais douce » depuis que j’étais revenue à la maison. Bien sûr, elle était inquiète pour moi et essayait de me secouer. Mais elle m’enfonçait chaque fois un peu plus sans le vouloir. Je n’avais pas besoin d’être secouée. J’avais besoin d’être soutenue. J’ai fini par aller voir notre médecin de famille, qui m’a convaincue de prendre des antidépresseurs. Je ne vous dirai pas que ça a été magique. Il faut quelques semaines pour que l’effet des médicaments se fasse sentir. Et à vrai dire, c’est à peine si on le remarque au début. Pas d’oiseaux qui chantent dans la tête, ni de vie en rose. Simplement, au bout d’un certain temps, je me suis rendu compte que je ressassais moins d’idées noires, que j’avais plus d’énergie pour faire ce que j’avais à faire, qu’en entretien d’embauche, j’arrivais à me vendre correctement. En y repensant, c’est comme si on avait appuyé sur le bouton off » de mon émotivité. Ce n’est pas que je ne ressentais plus rien. Mais, là où avant j’aurais pété un câble pour une tasse de café renversée, maintenant, je me levais, je prenais une éponge, et j’essuyais avant de me refaire un café. Avec mon nouveau petit ami, je ne ressentais plus cette jalousie maladive que j’éprouvais auparavant, et qui était en fait une conséquence de la profonde dévalorisation due à l’état dépressif. Il me parlait de ses ex et je l’écoutais calmement en me disant que de toute façon, il était avec moi maintenant. À lire aussi Comment avoir confiance en soi ? — Les conseils des madmoiZelles Je me disais que c’était peut-être ça, d’être normale », sûre de soi. Aujourd’hui encore, je regrette d’être redevenue humaine », avec mes émotions trop fortes. Et c’est justement cette pensée qui me fait peur, car elle s’approche de la dépendance. Les antidépresseurs m’ont aidée à sortir la tête de l’eau, mais ils me font peur parce qu’on peut en devenir dépendant•e. Oui, les antidépresseurs m’ont aidée à sortir de cet état de torpeur, à remonter la pente ou plutôt, car je préfère cette image, à pousser avec les pieds au fond de la mare pour remonter à la surface. Mais ils me font peur, parce qu’ils s’apparentent à une drogue, et qu’on peut en devenir dépendant•e. Quoiqu’il en soit, à la fin de l’été, j’ai commencé à réduire les doses, puis à arrêter complètement, sans problème particulier, ni effet rebond il y a un risque de rechute plus grave si on arrête trop soudainement ce type de médicaments. Je ne fais pas pour autant l’apologie des antidépresseurs. Ils m’ont toujours fait peur, et selon moi, prendre des médicaments est, encore aujourd’hui, un signe de faiblesse et d’échec. Et maintenant ? Ce qui m’a poussée à écrire ce témoignage, c’est ma visite chez le médecin hier soir. Elle est revenue. Et de nouveau, on m’a prescrit des médicaments. Moins forts, certes, mais des médicaments tout de même. Parce que je n’arrivais plus à assurer au travail, parce que j’étais triste en permanence. J’ai voulu prendre les devants, reconnaissant l’haleine fétide de cette poufiasse brumeuse. Mon médecin ne m’a proposé que des médicaments, alors que je recherchais plutôt une aide psychologique, un accompagnement, un coaching pour en sortir définitivement. En sortir définitivement ? Je ne sais même pas si c’est possible. Et maintenant j’ai peur. Peur de mon avenir. Peur de fonder une famille, et d’imposer ça à mes futurs enfants, à mon futur mari. Je le vis comme une fatalité. Peut-être que j’ai tort. Dites-moi que j’ai tort… — Illustrations Timtimsia Témoignez sur Madmoizelle ! Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à [email protected] On a hâte de vous lire !
Bonjour, Dans le courant du mois d'octobre, j'ai découvert que mon compagnon me trompait avec la marraine de notre faisait 14 ans que nous étions ensemble. Nous avons 2 enfants et 1 maison et nous parlions de nous marier. Je lui ai donné une chance de rentrer à la maison à plusieurs reprises mais à chaque fois il me répondait qu'il ne pouvait pas rentrer. Après beaucoup de discussions sans réponse, il n'a pas voulu revenir et est retourné chez ses parents. Il était tjs avec elle mais en même temps, il venait encore me voir et nous avions encore des rapports. Dans le courant du mois de novembre, j'ai mis un terme à cette relation "amant-maitresse". Le 1er décembre, il emménage avec elle. IL lance une procédure au tribunal pour la garde des enfants. Le 13 décembre, il me téléphone et me dit qu'il veut rentrer à la maison, que je lui manque, que nos enfants lui manquent, la maison aussi; bref faut que tt aille vite. Il met un terme avec elle et revient avec nous. Il me dit que tout doit aller vite, qu'il veut rentrer à la annulons le tribunal. Aujourd'hui, il ne sait plus où il en est, ne sait pas ce qu'il veut, il refume alors qu'il avait arrêté il y a 14 ans. Il a envie de boire, de se suicider. Il ne sait pas me dire s'il regrette sa décision, si je lui manque. Quand je lui dit "je taime", il me répond "moi aussi". J'ai appris aussi qu'il avait encore des contacts avec elle sms, coup de fil et qu'il l'avait revue. Je lui ai demandé de cesser aussi non je stoppais tout. IL m'a dit qu'il le fallait qu'il la sorte de sa pense qu'il est en dépression, qu'il a fait la crise de la quarantaine à 35 ans. En effet, il a peur de vieillir, il ne récupère plus comme avant il cumule 2 boulots. Tout dans sa tête est chamboulée, il n'a plus l'esprit clair et serein. Lui-même ne comprend pas ce qu'il lui arrive. Franchement, je ne comprends pas ce qu'il lui arrive, alors si qqu'un a vécu la même situation, j'attends vos témoignages et vos conseils, moi même je suis perdue, nerveuse, anxieuse. J'ai discuté avec lui et il va aller voir un pychologue ou psychiatre. Pensez-vous que ca va arranger les choses ??? Aidez-moi, je suis à bout et dois gérer la maison, les enfants, et ce n'est pas facile, car c'est mon premier amour, j'ai souffert quand il m'a quitté et je n'ai pas envie de souffrir à nouveau. Aidez-moi ... à comprendre ... Et quelle attitude avoir ????? Pensez-vous qu'il est en dépression et si c'est le cas, son attitude est-elle "normal" pour un dépressif ????????
TOUS LES LIVRES J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA FATIGUE Options de Visualisation Taille Espacement Alignement Citer cet article Abstract Quand le moindre effort épuise, que l’on a sans cesse envie de bailler, que l’on n’arrive plus à se concentrer, la fatigue – physique ou psychique – devient suspecte. Déjà client ? Vous avez déjà un compte? J'achète ce produit J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA FATIGUE J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA FATIGUE Quoi de plus normal que de se sentir fatiguée après une harassante journée de travail, une matinée de sport intense ou une fête qui ne s’est achevée qu’au petit matin ? Il suffit alors d’une bonne nuit de sommeil ou de quelques heures de repos pour retrouver son énergie. Mais quand le moindre effort épuise, que l’on a sans cesse envie de bailler, que l’on n’arrive plus à se concentrer, l’épuisement – physique ou psychique – devient suspect. S’il dure, il peut même devenir invalidant. Il faut alors en rechercher la cause et, lorsque cela est possible, la traiter. Car la fatigue pathologique cache ou découle souvent d'une affection sous-jacente. Pour certaines maladies – comme des troubles du sommeil, la carence en fer, la sclérose en plaques, la dépression et bien sûr le syndrome de fatigue chronique – ce type de fatigue permet souvent d’orienter le diagnostic s’il n’a pas été posé. Pour d’autres, comme les infections ou les addictions à l'alcool ou la drogue, elle n’est qu’un symptôme, fréquent, parmi d’autres. Elle peut aussi être la conséquence de certains traitements médicamenteux. Ce volume explore les multiples sources et facettes de la fatigue à tous les âges, des adolescents aux personnes âgées. Elisabeth Gordon Journaliste scientifique et médicale. Elle a déjà publié dans la collection J’ai envie de comprendre… » plusieurs ouvrages sur le sommeil avec les Drs Raphaël Heinzer et José Haba-Rubio ; sur le mal de dos avec le Dr Stéphane Genevay ; sur le cancer avec le Pr Pierre- Yves Dietrich et la Dre Angela Pugliesi-Rinaldi ; sur le cancer des enfants avec le Pr Marc Ansari ; sur la respiration avec le Pr Laurent Nicod ; et sur l’avancée en âge avec le Pr Christophe Büla. Pr Gérard Waeber Chef du Service de médecine interne, endocrinologie et diabétologie du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois à Lausanne CHUV
Une ancienne cliente m’a partagé les hauts et les bas qu’elle vit en ce moment, son envie de tout plaquer. À certain moments de sa vie, Elle se retrouve dans une déprime profonde, Qui lui fait voir tout en noir. Elle ne comprend pas vraiment le sens de ces passages sombresCette envie de tout plaquer ! Ces moments de downs, Cela lui fait TOUT remettre en question. Son job, son mec, et même sa raison d’exister !Tout. Dans ses moments là ,Elle se dit qu’elle fait fausse route, Comme si elle s’était plantée sur toute la ligne, Et qu’il n’y a pas de solution. Elle a juste envie que tout ça s’arrête. Elle veut tout plaquer, Et ne plus avoir rien à faire, rien à décider ! Elle se demande Pourquoi est-ce aussi intense ? Aussi pessimiste ?Est-ce que c’est sensé me guider vers les désirs de mon âme ? Quand le creux de la vague est passé, Elle regarde la même situation,Et elle voit que tout n’est finalement pas à jeter. Il y a du bon à garder et des choses à réajuster. Elle se demande quel est le sens des bas et des hauts ? Est-ce qu’on doit faire le tri et réaligner les choses pour remettre de la fluidité dans nos vies ?Ne surtout pas prendre de décision quand on est en phase down ?Attendre l’accalmie pour regarder tout ça avec plus de recul ? Quand je lis ses lignes, je crois une chose. Je crois que je n’ai pas la n’ai pas de solution pour mon ancienne n’ai pas de solutions pour toi qui vit l’envie de tout plaquer. Sais-tu pourquoi ? Parce que si je te donne une solution qui est la mienne,Je veux te rentre dans ton ne te permet pas de plonger au cœur de toi pour trouver TES ne te permet de faire ton chemin. Le chemin qui va te permettre de réellement te chemin qui va te permettre de réellement t’ qui va te donner TES réponses, à toi. Oui, quand tu as envie de tout plaquer, Quand tu vis des difficultés au plus profond de ton âme,Ce n’est pas pour te faire du n’est pas que tu n’es pas assez bien. C’est simplement que… Tu dois apprendre à te connaître,À t’accepter,À t’aimer dans toutes les facettes de toi. Pas à à t’alourdir avec des jugements sur toi-même. Ses moments de downs, c’est pour te rappeler. C’est pour te rappeler à toi,À qui tu es,À l’acceptation totale de toutes les parts de toi. Je sais, c’est inconfortable. Mais qui fera le chemin vers ta légèreté d’être,Sinon toi-même ?Qui te regardera en face et te dira tu es belle et parfaite »Si tu ne le crois pas toi-même ? C’est à chacun de faire le chemin,Le chemin pour arrêter de regarder à l’extérieur,Mais bien apprendre à s’accepter comme on est,Et à tout aimer de soi. Quel meilleur moyen pour cela sinon de… …traverser des choses qu’on déteste,Pour apprendre à vraiment s’aimer et se connaître ? Moi aussi, j’ai parfois envie de tout quitter. Moi aussi, j’ai vécu ce que mon ancienne cliente longtemps, j’ai cru que quelque chose clochait chez longtemps, je ne comprenais pas. J’ai fait le accepté ce que je vivais, Ces vagues perpétuelles qui me plongeaient au fond du trou. Ça n’a pas été même pris des décisions radicales pour m’échapper de fait des grosses erreurs de parcours. Traverser ses phases existentielles, Cela m’a donné beaucoup,Cela m’a permis de comprendre qui j’étais, Comment je fonctionnais,Cela m’a remis au centre de ma vie,Cela m’a demandé de prendre des décisions POUR moi-mêmeet non plus contre moi-même J’ai fait le vœux de toujours m’accepter,De ne plus jamais me juger sur qui j’étais et ce que je vivais,Même si cela ne semblait pas correspondre à LA façon d’être heureux que la société véhicule. J’ai accepté de traverser des états que je n’aimais pas, Et c’est dans ses moments là que je me suis VRAIMENT contacté,Au plus profond de moi,C’est dans ses moments là que j’ai embrassé et accueilli mes ombres, Que j’ai guéri des injonctions qui me pesaient, Pour tout aimder de toi. Non, je n’ai pas de solution miracle. C’est à chacun de faire son propre chemin pour apprendre,Pour retrouver sa légèreté de l’être,Pour s’aimer vraiment,Pour s’accueillir vraiment. Je ne peux faire la route à ta place. C’est à toi de t’aimer. C’est à toi de t’accepter comme tu à toi de plonger et de trouver le sens. Peut-être qu’il n’y a pas d’autres sens que de t’ que tu es,Et de reconnaître ton chemin, ta beauté,Même dans ses moments difficiles. Le mental veut contrôler. Les injonctions du monde veulent nous dire que ce n’est pas bien d’être en phase de down,Ou déprimé,Ou émotionnellement super-sensible,Ou en schéma de désamour. Pourquoi ? Ne peut-on pas être tout de nous ?Une femme déprimée ?Une femme énervée ?Une femme très émotionnelle ?Une femme qui se sent en désaccord ? Ne peut-on pas être tout de nous ? Pourquoi doit-on choisir la face pure et lumineuse ?Pourquoi ne peut-on pas accepter la face qui souffre, qui ne sait pas,Qui en a marre,Qui se sent au fond du trou ? Tout nous ramène à la légèreté de l’être. La lourdeur de certains de nos schémas Nous pousse à nous retrouver,À retrouver cette légèreté de l’être initiale qui nous manque tant. Je dédie ce texte à la légèreté de l’être, Et à toutes les phases downs que j’ai les aime et je leur dis merci. Sans elles, Je ne goûterais pas aujourd’hui l’amour et la légèreté de l’être que je suis. Mathilde PS. Souvent, on croit qu’on n’a pas les réponses. Mais si je relis les mots de mon ancienne cliente, Ceux écrits en début de ce texte,Je peux m’apercevoir que les réponses sont déjà écrites dans ses mots. Elle a écrit qu’elle ne veux plus avoir rien à faire, rien à décider ! » N’est-ce pas déjà une réponse de son âme à ses phases de downs ? 🌟 Reçevoir des textes gratuitement chaque semaine pour retrouver l’amour que tu es 🌟 Oui, je reçois les mails privés Rejoindre la chaîne youtbe.
Je m'appelle Ezéchielle et j'ai 17ans . Je ne peux pas dire que ma vie me plaît beaucoup. Quand j'avais 15ans, j'étais très amoureuse d'un garçon et j'avais une. C'était là les deux personnes qui comptaient le plus pour moihormis ma famille. Le garçon m'a fait comprendre qu'il ne me voyait que comme une bonne amie, j'étais anéantie parceque je l'aimais vraiment énormément.. j'ai essayé de me calmer et je me suis dis que j'ai encore ma meilleure amie sur qui je peux compter, mais elle aussi elle a décidé de s'éloigner et elle a changé radicalement avec moi.. En même pas deux mois j'avais perdu les deux amours de ma vie et c'est là que tout a commencé. J'ai commencé à m'attacher aux mauvaises personnes et à chaque fois évidemment j'étais déçue. Déjà que je n'avais pas trop confiance en moi, ma déception amoureuse n'a fait qu'amplifier ce manque de confiance car je me disais qu'il y'a plein de filles super canon dehors et que personne ne s'intéresserait à moi.. Aujourd'hui c'est très difficile pour moi au quotidien.. j'ai perdu tout intérêt pour les activités divertissantes que je faisais par le passé, j'ai constamment envie d'être seule, parfois je pleure pour rien et j'ai des sautes d'humeur. J'ai peur de sombrer dans la dépression parce que j'ai encore beaucoup à faire dans me vie sauf que j'y arrive pas. J'ai vraiment besoin d'aide Quelle est votre réponse ? Réponse envoyée Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier Une erreur s'est produite Merci de réessayer plus tard Meilleure réponse 28 SEPT. 2020 Cette réponse a été utile à 2 personnesBonjour Mary, Vous êtes en train de faire le deuil de ces deux relations, en passant par les émotions difficiles que cela implique. C'est d'autant plus difficile que vous approchez d'une période charnière de voter vie la fin de la scolarité et le début de la vie d'adulte, avec les changements que cela implique. Mais ces bouleversements peuvent aussi être une chance, un moyen de laisser une page se tourner pour vous ouvrir bientôt à de nouvelles expériences. En attendant, il s'agit d'accepter de traverser ces émotions en trouvant une oreille bienveillante auprès de qui les exprimer, pour faire baisser la pression que vous ressentez. Peut-être pouvez-vous consulter une psy de confiance ? Le reste suivra tout seul... Bien à vous, Caroline GORMAND Téléconsultations et consultations en cabinet, sur rendez-vous Caroline Gormand Psy sur Clermont-l'Hérault 1498 réponses 2008 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 1 réponse 28 SEPT. 2020 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonsoir. Pour déterminer si vous souffrez de dépression il faut nous dire si vous changez d'état émotionnel. Avez-vous des moments où vous voyez en noir ou pas ? Sentez-vous que vos forces vous abandonnent ? Ce sont déjà les premiers points sur lesquels porter votre attention. En l'absence de ces premiers symptômes vous pouvez simplement vous dire que vous êtes découragés par tout ce qui se passe dans votre vie. Trouvez un moyen de vous donner du courage en réalisant des activités qui vous donneront envie de vous réaliser. Qu'est-ce qui vous ferait plaisir dans la vie ? C'est de ça qu'il faut vous nourrir ! C'est ce que vous recherchez profondément. Bien Cordialement. Virgile GROSSIORD Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! Expliquez votre situation à nos psychologues Faites votre demande de manière anonyme et recevez une aide psychologique en 48h. 13450psychologues 15200questions 94950réponses
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