Ehbien ! la premiĂšre de ces deux phrases (les acteurs que j'ai vus jouer) rĂ©pond Ă  celle-ci : les acteurs que j'ai laissĂ©s jouer ; et la seconde (les ouvrages que j'ai vu jouer) rĂ©pond Ă  la suivante : les ouvrages que j'ai laissĂ© jouer. Ce serait bien peu connaĂźtre le gĂ©nie de notre langue, que de ne pas diffĂ©rencier l'orthographe de ces deux mots laissĂ© suivi d'un infinitif Suisje ce que j’ai conscience d’ĂȘtre ? Jeremy Le Guisquet. Laisser un commentaire Annuler la rĂ©ponse. Votre adresse e-mail ne sera pas publiĂ©e. Les champs obligatoires sont indiquĂ©s avec * Commentaire. Nom * E-mail * Site web. Enregistrer mon nom, mon e-mail et l’URL du site dans mon navigateur pour la prochaine fois que je publierai un commentaire. VĂ©rification 3qui semble toute naturelle, est en fait trĂšs complexe, et repose en derniĂšre analyse sur le langage : autrui, Ă  la diffĂ©rence des choses, rĂ©pond quand je lui parle. Par le langage, je suis avec autrui en situation de comprĂ©hension rĂ©ciproque (ce pourquoi, d’ailleurs, je ne me comporte pas de la mĂȘme façon seul que devant autrui). Suisje ce que j'ai choisi d'ĂȘtre? pose le problĂšme de la libertĂ© immĂ©diatement. Tu peux l'exprimer Ă  travers le problĂšme suivant: a-t-on le choix d'ĂȘtre ce qu'on est? D'une part je n'ai pas choisi tout un tas de choses (mon lieu de naissance, mon patrimoine gĂ©nĂ©tique, l'Ă©poque), mais en plus je n'ai mĂȘme pas choisi d'exister. Celasignifie Ă©galement que nous le corrigeons constamment, car il ne lui vient pas Ă  l'esprit que quelque chose comme faire des bruits drĂŽles et rĂ©pĂ©tĂ©s avec votre chaise lorsque votre classe d'Ă©cole du dimanche est sur le point d'interprĂ©ter une chanson serait inappropriĂ©. J'essaie de lui dire explicitement les rĂšgles sociales d'une nouvelle situation, ce qui aide, mais seulement Aije une conscience ou suis-je une conscience ? Suis-je responsable de ce dont je n’ai pas conscience ? Puis-je prendre conscience des illusions que je me fais sur moi ? Suis-je ce que mon passĂ© a fait de moi ? Autres corrigĂ©s disponibles sur ce sujet CorrigĂ© professeur de Colette Kouadio CorrigĂ© Ă©lĂšve de nagrom27 CorrigĂ© Ă©lĂšve de ssss Ko8UG. Descartes considĂ©rait la conscience comme une chose certaine et indubitable » MĂ©ditations mĂ©taphysiques, en lui confĂ©rant un rĂŽle primordial dans la dĂ©finition du je ». Mais on peut s’interroger sur la place rĂ©elle de la conscience. Ai-je une conscience ou suis-je une conscience ? Pour rĂ©pondre Ă  cette question, il faudrait tout d’abord expliquer la diffĂ©rence entre le verbe ĂȘtre » et le verbe avoir ». Il est clair que avoir » interroge sur une propriĂ©tĂ©, une caractĂ©ristique. Il est donc le lien entre le sujet et l’objet. Par contre, le verbe ĂȘtre » interroge directement sur le sujet, sur son essence, sa dĂ©finition. Mais pour dĂ©finir ce sujet, il est possible de donner la liste parfois infinie de ses caractĂ©ristiques. Ainsi, la diffĂ©rence entre ĂȘtre » et avoir » est parfois infime, notamment pour une chose aux caractĂ©ristiques si nombreuses que je ». D’autre part, que veut dire le mot conscience » du problĂšme ? Conscience » ne signifie pas conscience de soi » ni bonne ou mauvaise conscience », mais doit ĂȘtre compris dans son sens le plus vaste possible, c’est Ă  dire ensemble des pensĂ©es ». Ainsi, pour Ă©viter toute ambiguĂŻtĂ© linguistique, on peut reformuler la question Ai-je une conscience ou suis-je une conscience ? » par Est-ce que la conscience est une de mes propriĂ©tĂ©s ou est-elle l’ensemble de mes propriĂ©tĂ©s, c’est Ă  dire ce que je suis ? auquel cas l’essence de ma conscience serait l’essence du je » » Descartes, en utilisant son cogito », affirme que je suis une chose qui pense, c’est Ă  dire que je suis une conscience. C’est ce que nous verrons dans une premiĂšre partie, en prĂ©cisant les limites Ă©videntes de cette thĂ©orie. Puis nous analyserons le point de vue de philosophes plus contemporains, tels Kant ou Freud, qui apporteront des nuances, voire des corrections rĂ©volutionnaires, Ă  la thĂšse de Descartes. Dans une troisiĂšme partie, nous verrons quel point de vue on pourrait adopter aujourd’hui, un siĂšcle aprĂšs la dĂ©couverte de l’inconscient. I. Je suis une conscience Dans Le Discours de la mĂ©thode, Descartes s’interroge sur le fait que nos sens peuvent nous induire en erreur. En effet, nous sommes parfois victimes d’illusions d’optique, de problĂšmes de vision qui nous donnent une idĂ©e fausse du monde qui nous entoure. Si certaines choses que nous voyons n’existent pas, qu’est ce qui est rĂ©ellement vrai, absolument certain ? Pour rĂ©pondre Ă  cette question, Descartes va utilise AccĂ©dez Ă  la suite de ce contenu AccĂšdez aux contenus premium de 20aubac gratuitement en proposant votre propre corrigĂ©, ou en obtenant un accĂšs payant. DerniĂšre mise Ă  jour 07/06/2021 ‱ ProposĂ© par Carole Bline professeur Ce corrigĂ© est disponible sur un site externe Ă  20aubac. En cas de problĂšme d'accĂšs Ă  la page originale, vous pouvez accĂ©der aux copies enregistrĂ©es. Consultez ce corrigĂ© Copie Copie format PDF Philosophie > sujets expliquĂ©s - Question simple "Suis-je ce que j'ai conscience d'ĂȘtre?" Il s'agit, dans un premier temps, de vous aider Ă  comprendre le caractĂšre problĂ©matique de la question ce qui justifie que ce soit un sujet de dissertation. C'est primordial on ne comprend pas ce qu'est l'exercice de la dissertation en philosophie tant que l'on ne comprend pas ce qu'est une problĂ©matique. Et c'est la problĂ©matique qui orientera, dĂ©terminera tout le devoir le plan rĂ©pond aux exigences de la problĂ©matique -choisir des axes de rĂ©flexion pour traiter un problĂšme. Alors ici il faut partir d'une analyse fine du sujet, il s'agit de voir quel systĂšme d'opposition joue dans le sujet et mĂšne Ă  poser la question. Ce qui est central ici, c'est la tension voire l'opposition entre "ce que je suis" rĂ©ellement, ce qui me dĂ©finit, ce qui dĂ©finit mon ĂȘtre et "ce que j'ai conscience d'ĂȘtre". Ayant repĂ©rer cette tension, il s'agit dans un premeir temps de se demander d'oĂč elle vient pourquoi cette opposition? Qu'est-ce qui nous fait soupçonner qu'il n'y a pas de coĂŻncidence entre ce que je suis et ce que j'ai conscience d'ĂȘtre? Le problĂšme ne vient-il pas de ce que l'on s'aperçoit que la conscience peut ĂȘtre source d'illusions? Avoir conscience de quelque que chose est-ce connaĂźtre ce quelque chose? N''est ce pas plus de l'ordre de la perception que de la connaissance? Ainsi en faisant le lien entre conscience et perception la perception Ă©tant distinguĂ©e de la connaissance Ă  proprement parler -songer ici aux erreurs des sens les choses ne sont pas toujours telles que je les perçois, etc., on peut se demander en effet si ma conscience seule me renseigne totalement sur ce que je suis. Mais nous avons ici affaire Ă  un problĂšme car prĂ©cisĂ©ment Ă  la fois on voit ce qui pourrait nous faire soupçonner cette non-coĂŻncidence et en mĂȘme il y a cette idĂ©e que la conscience, Ă©tant ce qui nous dĂ©finit et l'Ă©lĂ©ment par lequel on pense voyez ici Descartes, MĂ©ditation 2, doit permettre de nous connaĂźtre. VoilĂ  pour la situation gĂ©nĂ©rale du problĂšme, et voilĂ  de quoi rĂ©flĂ©chir pour commencer. " Documents attachĂ©s aucun document joint. 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID zJsqgBrizSF6BdUpn8Ok5hJ3WsP1xMOADHPUGViAU7BGXti3nr2xWg== Ne suis-je pas d'abord conscience d'ĂȘtre avant d'ĂȘtre l'ĂȘtre dont j'ai conscience ? Il y a donc deux questions qui sont Ă  distinguer - la question de fait comment puis-je lucidement prendre conscience de mon ĂȘtre ? - la question de droit en tant qu'ĂȘtre conscient, mon ĂȘtre est-il ce dont j'ai conscience ? La conscience vise un objet, mais si j'ai conscience que le ciel est bleu, l'est-il vraiment ? Cependant, quand ma conscience se porte sur moi-mĂȘme, l'identitĂ© de la visĂ©e et de ce qui est visĂ© semble apporter une certitude si j'ai conscience d'ĂȘtre triste, je le suis car cette tristesse coĂŻncide avec la conscience que j'en ai. Je serais donc toujours ce que j'ai conscience d'ĂȘtre. Cependant, mon expĂ©rience m'apprend que je peux me tromper sur moi-mĂȘme. Quel est donc cet ĂȘtre dont je prends conscience et qui n'est pas rĂ©ductible Ă  ma conscience ? Je reste une conscience avant d'ĂȘtre un objet, mais cette conscience n'est pas une immĂ©diatetĂ© ou une saisie directe d'elle-mĂȘme. Quand je m'interroge sur moi-mĂȘme, quelque chose de moi peut-il Ă©chapper Ă  ma conscience ?[Le moi n'existe Ă  mes yeux que parce que j'en ai conscience. Je suis donc ce que j'ai conscience d'ĂȘtre. Il est impossible de penser sans avoir conscience de penser. Ce qui est inconscient ne renvoie plus Ă  la pensĂ©e mais au corps. Avoir conscience de ce que je suis, c'est avoir conscience que j'agis.] [La conscience que j'ai de moi est limitĂ©e, fragmentaire. Je n'ai pas conscience totalement de ce que je suis.] [La conscience de soi comme tĂąche et conquĂȘte pour le sujet.] La conscience de soi est-elle le tĂ©moignage de ce que nous sommes, de sorte que la conscience serait le tout de soi-mĂȘme, nous apportant une connaissance intime et vraie de notre ĂȘtre, ou la conscience que nous avons de nous-mĂȘmes n’est-elle qu’une partie de ce que nous sommes, de sorte qu’il y aurait en nous une part d’inconnu, qui nous serait cachĂ©e et qui prendrait la forme d’un inconscient ? La conscience semble ĂȘtre limitĂ©e Ă  une certaine partie de nous-mĂȘmes, de sorte qu’elle ne nous livre pas une connaissance pleine et entiĂšre de notre ĂȘtre. Il faut donc dĂ©passer la conscience pour acquĂ©rir une vĂ©ritable connaissance de suis ce que je pense et je pense ce que je suis. En tant qu'homme, je suis un ĂȘtre pensant. Toute conscience Ă©tant intentionnalitĂ© Husserl, rien de ce que je suis ne m'Ă©chappe. Mais, ce que je suis est une chose. La conscience que j'ai de moi-mĂȘme en est une autre. La preuve en est qu'autrui est capable de me rĂ©vĂȘler des traits inconnus de ma personnalitĂ©. De plus, nombre de mĂ©canismes inconscients viennent troubler la connaissance que j'ai de moi-mĂȘme. Tout dĂ©pend alors du niveau auquel je prends conscience. Simple rapport immĂ©diat Ă  ce que je sens ou pense aumoment mĂȘme, la conscience ressemble Ă  un contact intĂ©rieur. Si je suis triste, je le sais, mais ce n'est pas encoreune connaissance je ne sais pas ce qu'est la tristesse. Je sais que je suis sans savoir ce que je suis. Laconscience que j'ai de moi se confond avec le sentiment de ma propre existence, plutĂŽt qu'avec une connaissancede mon ĂȘtre. Cette derniĂšre suppose un approfondissement, une Ă©chelle de comparaison, qui paraissent impossiblesici il faudrait que je confronte diffĂ©rents points de vue sur moi-mĂȘme alors que je suis le seul Ă  pouvoir les occuper! Changer de point de vue sur soi serait se changer, n'ĂȘtre plus le mĂȘme. Il semble bien que la conscience rĂ©flĂ©chiede soi se confonde avec le travail sur soi, et se connaĂźtre soi-mĂȘme, c'est ne plus ĂȘtre le mĂȘme. PrĂ©cisĂ©ment, laconscience que j'ai de moi-mĂȘme paraĂźt toujours en devenir. Soit l'exemple de Sartre j'ai conscience d'ĂȘtre laid ;cette conscience se dĂ©veloppe en diverses attitudes que je prends, et ce ne sera plus de la mĂȘme laideur qu'ils'agira. Cet ĂȘtre dont j'ai conscience est l'histoire mĂȘme de la conscience que j'ai de moi. On peut se demander si je peux passer de j'ai conscience d'ĂȘtre laid » Ă  je suis laid » ? Je ne suis pas laidcomme s'il s'agissait d'attribuer une qualitĂ© distinctive Ă  une chose. Cette laideur est insĂ©parable de la conscienceque j'en prends, et cependant cette conscience n'est pas enfermĂ©e en elle-mĂȘme, elle vise Ă  se dĂ©passer versautre chose l'ĂȘtre que je suis est l'ĂȘtre vers lequel ma conscience se tend comme vers l'unitĂ© ou l'horizon de toutesses dĂ©marches. Seule la mort me transforme en ĂȘtre dĂ©finitif, mais alors il n'y a plus de conscience qui le saisit sousson regard intĂ©rieur. Analyse Quels sont les rapports avec la vĂ©ritĂ© ou avec une authenticitĂ© dans les rapports avec la conscience de soi ? MonidĂ©e de ce que je suis est-elle une vĂ©ritĂ© par la mĂ©diation de la conscience ? La conscience peut-elle ĂȘtre garantede cette vĂ©ritĂ© de ce que je suis ? Par l'hypothĂšse de l'inconscient, j'ai conscience que je ne suis pas seulement ceque je suis conscient d'ĂȘtre. En d'autres termes, je sais que je suis au-delĂ  du contenu de ma conscience, maissans pouvoir ĂȘtre conscient de ce que je suis prĂ©cisĂ©ment. L'inconscient, ce manque de la conscience, nedĂ©montre-t-il pas qu'il ne peut y avoir aucune certitude sur ce que je suis dans ce que j'ai conscience d'ĂȘtre ? Quese passe-t-il quand je n'ai pas conscience d'ĂȘtre ? C'est le cas le plus frĂ©quent, mĂȘme si nous avons tendance Ă l'oublier quand nous rĂ©flĂ©chissons sur la conscience, car prĂ©cisĂ©ment Ă  ce moment nous avons conscience de nous-mĂȘmes. Mais que suis-je quand je n'ai pas conscience de moi-mĂȘme, quand toute ma conscience est liĂ©e Ă  un objetextĂ©rieur ? Ne suis-je rien ? Ce problĂšme mĂšne Ă  un autre il nous rĂ©vĂšle la discontinuitĂ© de la conscience. Maconscience, y compris ma conscience rĂ©flexive, ne forme pas une chose fixe, pas mĂȘme un dĂ©veloppement continuet sans rupture. DĂšs lors, en quel sens prendre le prĂ©sent dans " je suis ce que j'ai conscience d'ĂȘtre " ? S'agit- il deprĂ©sent immuable ? De prĂ©sent immĂ©diat ? Mais en ce dernier cas c'est-Ă -dire si " je suis " ne vaut qu'au momentoĂč on le prononce, que signifie encore le " je " ? Celui-ci n'est- il pas, prĂ©cisĂ©ment, ce qui est censĂ© unifier lesdiffĂ©rents Ă©tats de la personne rĂ©partis dans le temps ? On sait ce que la rĂ©flexion sur soi-mĂȘme peut comporter de complaisance. Freud prĂ©sente le narcissisme*, ou amourde soi-mĂȘme, comme une pulsion premiĂšre de l'ĂȘtre humain qui prend appui sur les images idĂ©ales qu'il se donne desa personne. À l'inverse, un excĂšs de regard critique peut cacher une tentative de justifier un sentiment originel deculpabilitĂ©. Comment savoir si la conscience que j'ai de moi-mĂȘme est pleine et entiĂšre, ou si elle n'est que l'effet demĂ©canismes plus profonds, forces ou pulsions ? Le sujet incite donc Ă  distinguer ce qui, en moi, peut ĂȘtre placĂ© sousle regard de ma conscience, de ce qui dĂ©joue cette connaissance apparente que j'ai de moi-mĂȘme. Les thĂšmes del'inconscient ou de la mauvaise foi apparaissent ici. Cependant, cette premiĂšre analyse conduirait Ă  se demander s'ily a quelque chose en moi qui Ă©chappe Ă  ma conscience. Il faudrait approfondir l'analyse pour poser la question dustatut mĂȘme de la conscience en tant que je suis conscient de moi-mĂȘme, qu'est-ce donc que je suis pourreprendre la formulation de Descartes ? Si mon ĂȘtre, c'est ce dont j'ai conscience, ne va-t-il pas ĂȘtre assimilĂ© Ă une chose ou un objet de conscience ? Ne suis-je pas d'abord conscience d'ĂȘtre avant d'ĂȘtre l'ĂȘtre dont j'aiconscience ?Il y a donc deux questions qui sont Ă  distinguer- la question de fait comment puis-je lucidement prendre conscience de mon ĂȘtre ?- la question de droit en tant qu'ĂȘtre conscient, mon ĂȘtre est-il ce dont j'ai conscience ? RĂ©daction plan dĂ©taillĂ© La conscience vise un objet, mais si j'ai conscience que le ciel est bleu, l'est-il vraiment ? Cependant, quand maconscience se porte sur moi-mĂȘme, l'identitĂ© de la visĂ©e et de ce qui est visĂ© semble apporter une certitude si j'ai. »

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