Lesserpents, en revanche, ont une façon incroyable de le gérer. En 2007, Marshall McCue, un biologiste diplômé de l’université de l’Arkansas, a réalisé une étude dans laquelle il a confiné 62 serpents dans des cages sans nourriture ni possibilité de se déplacer pour voir combien de temps ils pouvaient rester sans nourriture. Cest l'une des plus étranges idées fausses concernant la vie au Moyen-Âge. La VIE de ces gens dépendait de leur agilité et de leur capacité à survivre au combat. Pourquoi auraient-ils eu des épées de 10 kg et porté des armures si lourdes que s'ils tombaient de cheval ils se seraient trouvé aussi handicapé qu'une tortue sur le dos ? Ouic'est très dangereux pour les tortues de se retrouver sur le dos ! Les poumons se trouve juste sous la carapace et donc elle risque de mourrir si elle ne Combiende temps une tortue peut rester sur le dos? Est-ce dangereux ? Non si la tortue de terre ne reste pas trop longtemps dans cette position. Le gros risque est qu’elle ne puisse pas se retourner. Si elle se retrouve bloquée sous la lampe Combiende temps une tortue peut rester sur le dos ? Les tortues peuvent-elles mourir en restant coincées sur le dos ? Il est vrai que [] 14 Fév. Combien de dents a une tortue ? Les tortues ont-elles des dents ? La réponse est compliquée Les tortues, nos amis à [] 13 Fév. Dresser une tortue ? Peut-on dresser une tortue ? Beaucoup de gens qui ne comprennent pas les tortues Définitionet Explications - Les tortues (Testudines) [tɔʀty] forment un ordre de reptiles dont la caractéristique est d'avoir une carapace. Il existe une grande variété d'espèces possédant des caractéristiques diverses mais toutes se distinguent des autres reptiles par cette carapace constituée d'un plastron au niveau du ventre et d'une dossière sur le dessus qui sont reliés par 3IsbR. Télécharger l'article Télécharger l'article Les bains sont un bienfait pour les tortues de compagnie, qu'elles soient aquatiques ou terrestres. C'est même un soin qui a son importance puisqu'il permet à l'animal de se réhydrater [1] . Il permet aussi le nettoyage de la peau chez toutes les tortues et l'élimination des algues incrustées entre les écailles chez les espèces aquatiques [2] . Il faut baigner à peu près de la même manière les deux types de tortues, en prenant un peu plus de précautions lorsqu'on s'occupe d'une espèce terrestre. Il faut aussi ne pas oublier de se laver soigneusement les mains après avoir baigné l'animal, pour éviter une contamination par des bactéries comme les salmonelles. 1 Baignez votre tortue de temps en temps. Les espèces aquatiques passent la plupart de leur temps dans l'eau et elles n'ont pas besoin d'être nettoyées si leur aquarium est maintenu propre. Cependant, votre tortue devrait bénéficier d'un nettoyage si des algues commencent à se développer sur sa carapace ou si vous devez l'aider à se débarrasser des peaux mortes [3] . Lorsque la peau de votre tortue se desquame, vous devriez remarquer des plaquettes de cellules mortes des squames sur son cou, ses pattes et sa queue. C'est un phénomène tout à fait naturel. Par contre, si votre tortue pèle énormément, elle pourrait avoir un problème de santé ou il pourrait y avoir un problème avec l'eau de l'aquarium. Dans ce cas, vous devriez consulter un vétérinaire [4] . 2 Procurez-vous une bassine conçue spécialement pour le nettoyage des tortues. Les tortues peuvent porter des salmonelles qui sont des bactéries nocives pour l'intestin d'un humain et c'est pourquoi il est très important que vous nettoyiez votre animal dans un bidet ou une baignoire [5] . La meilleure option consiste à acheter une baignoire en plastique que vous n'utiliserez que pour nettoyer votre tortue, car les salmonelles résistent à la plupart des produits désinfectants [6] . Une petite baignoire en plastique ou même un seau fait dans un matériau de ce type fera très bien l'affaire. Vous devez juste vous assurer que le récipient a un volume assez important pour accueillir la tortue et vous permettre de faire dans de bonnes conditions tous les gestes nécessaires au nettoyage. 3Rassemblez tout le reste du matériel dont vous allez avoir besoin pour faire le nettoyage. Il vous faudra en plus de la baignoire, une brosse à dents et un pichet que vous remplirez d'eau tiède. Vous ne devriez pas utiliser du savon ou du shampoing, sauf si votre vétérinaire vous a recommandé de le faire [7] . 4Plongez délicatement la tortue dans la baignoire que vous venez de remplir d'eau. N'ajoutez rien dans l'eau qui doit avoir la température de l'air ambiant. Versez assez d'eau dans la baignoire pour que son niveau atteigne le menton de la tortue ou passe au-dessus si vous souhaitez laisser l'animal nager [8] . 5 Grattez la carapace de la tortue. Pour cela, utilisez la brosse à dents pour frotter délicatement toutes les écailles en insistant sur les zones où se sont accumulées des impuretés. N'oubliez pas que la tortue sent les frottements sur sa carapace et c'est pourquoi vous ne devez pas gratter trop fortement. Continuez le nettoyage en frottant les pattes, le cou et la queue en prenant plus de précautions, car ces zones sont nettement plus sensibles que le dos. Finissez le lavage en grattant le plastron ventre tout en veillant à bien enlever toutes les saletés entre les écailles [9] . N'utilisez pas de savon ou de vernis, car vous pourriez blesser ou rendre malade votre tortue. 6Examinez votre tortue pendant que vous la nettoyez. C'est le moment parfait pour vérifier qu'il n'y a aucun signe de maladie ou de blessure. Si vous remarquez quelque chose d'anormal, amenez votre tortue chez le vétérinaire pour qu'il l'examine. Parmi les signes qui devraient vous alerter, il y a les paupières ou les oreilles enflées, des enflures sur d'autres parties du corps, des anomalies de la peau et des taches de décoloration sur la carapace qui correspondent à des zones de pourrissement [10] . 7Rincez bien la tortue et remettez-la dans son aquarium. Dès que vous l'avez bien nettoyée, versez de l'eau en abondance sur tout son corps à l'aide du pichet. Elle devrait être débarrassée de toute saleté. 8Jetez l'eau de manière à éviter toute contamination par les salmonelles. Ne la versez pas dans un lavabo ou un évier, mais versez-la dans la cuvette des toilettes. Après cela, nettoyez-vous bien les mains avec du savon et rincez-les à l'eau tiède. Publicité 1Nettoyez votre tortue très régulièrement. Vous devriez le faire 3 à 4 fois par semaine. Il y a même certains spécialistes des tortues qui recommandent de les nettoyer une fois par jour quand le temps est chaud [11] . 2 Procurez-vous une baignoire spécialement pour votre tortue. Les tortues terrestres ou semi-aquatiques peuvent porter des salmonelles tout comme les espèces aquatiques [12] . Ces bactéries sont très résistantes face aux produits désinfectants et c'est pourquoi il est préférable que vous utilisiez une petite baignoire dédiée exclusivement au nettoyage de votre tortue [13] . Vous pourriez vous servir d'une bassine ou d'un seau en plastique ou bien d'un bac à litière comme baignoire pour votre tortue. Assurez-vous au moins que le récipient est assez grand pour que votre animal à carapace puisse s'y déplacer un peu. 3Rassemblez tout le matériel nécessaire pour le nettoyage de votre tortue. Tout comme pour le lavage d'une tortue aquatique, il vous faudra en plus de la baignoire, une brosse à dents et un pichet. Vous n'utiliserez du savon ou du shampoing que si le vétérinaire vous l'a recommandé [14] . 4 Placez la tortue dans la baignoire, puis ajoutez progressivement de l'eau. L'eau doit avoir la même température que l'air ambiant. Vous allez en verser dans la baignoire jusqu'à ce qu'elle atteigne le menton de l'animal. N'ajoutez pas plus d'eau, car les tortues terrestres ne savent pas nager et votre animal pourrait se noyer si sa tête est en dessous de la surface de l'eau [15] . Vous pourriez aussi glisser un objet de quelques centimètres d'épaisseur sous un côté de la baignoire pour l'incliner afin que l'eau soit moins profonde d'un côté que de l'autre. Placez la tortue dans la baignoire de manière à ce que sa tête se trouve du côté où l'eau est moins profonde. Sa queue sera ainsi totalement plongée dans l'eau tandis que sa tête sera au-dessus de la surface, ce qui est parfait, car elle pourra alors s'hydrater puisque les tortues terrestres peuvent absorber de l'eau par l'anus. Versez l'eau dans la baignoire après y avoir placé la tortue, pour éviter que son niveau ne monte trop haut. 5 Laissez la tortue tremper dans l'eau pendant 10 à 20 minutes. L'animal va en profiter pour boire de l'eau par sa bouche et en absorber par son anus, qui est en dessous de la queue, afin de se réhydrater. Votre tortue devrait aussi profiter de ce moment pour faire ses besoins [16] . En général, pour nettoyer votre tortue, il suffit de la laisser tremper dans l'eau pendant quelques minutes puis de la rincer. Vous pourriez vous contenter de la passer à la brosse une fois par semaine seulement. 6Versez l'eau sale dans la cuvette des toilettes, puis remplissez à nouveau la baignoire d'eau propre. Ne laissez pas la tortue dans la baignoire au moment où vous la videz de son eau, pour éviter de la blesser en la faisant tomber. 7Frottez la carapace de la tortue. Pour cela, utilisez avec délicatesse une brosse à dents en faisant bien attention de bien nettoyer les zones où la saleté s'est accumulée. Continuez le nettoyage en frottant délicatement les pattes, le cou et la queue qui sont des zones particulièrement sensibles. Finissez le travail en frottant le plastron de manière à enlever toutes les saletés qui se sont incrustées entre les écailles [17] . 8Examinez votre tortue pendant que vous la nettoyez. Voyez s'il y a sur son corps des signes de maladie ou de blessure. Si vous remarquez quelque chose d'anormal, amenez sans tarder votre tortue chez un vétérinaire. Parmi les signes qui doivent vous pousser à réagir, il y a les paupières ou les oreilles enflées, des enflures sur d'autres parties du corps, des anomalies de la peau et des zones pâles sur la carapace qui sont des marques de pourrissement [18] . 9Rincez bien la tortue, puis séchez-la. Rincez-la en versant abondamment de l'eau tiède sur son corps avec le pichet. Placez la tortue sur une serviette propre dans laquelle vous allez l'envelopper jusqu'à ce qu'elle soit sèche. Une fois cela fait, vous pouvez réinstaller votre animal à la carapace scintillante dans son enclos [19] . 10Jetez l'eau sale en prenant des précautions. Elle peut contenir des salmonelles et c'est pourquoi vous ne devez pas la verser dans un lavabo ou un évier. Jetez-la plutôt dans la cuvette des toilettes, puis nettoyez-vous bien les mains avec du savon avant de les rincer à l'eau tiède. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 51 593 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Accueil L'encyclo des animaux Le hérisson européen Le hérisson européenPhoto Damian SynnottEspèce protégéeDescription physique Le hérisson est un petit mammifère de la famille des érinacéidés. Il en existe plusieurs espèces. Le hérisson commun est le hérisson européen appelé aussi hérisson d'Europe. Le hérisson est le seul mammifère d’Europe à avoir des piquants sur son dos. Le hérisson adulte en possède entre 5 000 et 7 500. Ces piquants, creux et légers, mesurent entre 2 et 3 cm de longueur. Il sont pratiquement indéformables et incassables et il est possible de suspendre un hérisson par une seule de ses épines. Les piquants ont une durée de vie de 18 mois environ et se renouvellent. Le reste du corps du hérisson est recouvert de longs poils raides et bruns, mais qui ne suffisent pas pour protéger le hérisson contre les grands froids. Ce mammifère a 4 pattes et une petite queue conique de 2 à 3 cm. Son museau est pointu et il possède 36 dents. Ses oreilles courtes mesurent entre 2 et 3 cm et sont en partie cachées par les poils. Le hérisson mesure entre 22 et 32 cm de la tête à la queue et entre 12 et 15 cm de hauteur. Son poids varie selon les saisons, l'abondance de nourriture, l'âge et la santé de l'individu. Il pèse généralement entre 450 et 700 g mais peut atteindre les 2,2 kg à l'approche de l'hiver. En cas de danger ou si on le touche, le hérisson s'immobilise et se roule en boule en hérissant ses piquants. Si la menace se précise, il penche sa tête en avant, protège sa tête et ses pattes et continue de surveiller ce qui se passe. Il peut rester dans cette position pendant des heures sans la moindre fatigue. Si on le retourne, il rentre alors sa tête très rapidement. On trouve le hérisson commun dans toute l'Europe et il a également été introduit en Nouvelle-Zélande. Il vit en lisière de forêt, dans les prés bordés de haies, dans les parcs ou dans les jardins. Il passe sa journée à dormir dans un gîte aménagé avec des feuilles, dans un arbre ou sous un buisson. Il ne sort pas en plein jour et cherche sa nourriture la nuit. L'hiver, le hérisson hiberne. Au début de l'automne, il cherche un endroit abrité par un arbre ou des ronces, ou bien creuse un terrier. Il prépare son nid avec de l'herbe, des feuilles mortes et des brindilles. Au moment de l'hibernation, le hérisson se roule en boule et s'endort d'un sommeil profond entrecoupé de réveils brefs. En dormant, il brûle chaque jour environ 2 g de graisse de réserve. Lorsque sa réserve de graisse est épuisée, pour ne pas mourir, le hérisson doit reprendre une vie normale et trouver de la nourriture, même s'il fait alimentation Le hérisson est traditionnellement classé dans l'ordre des insectivores. Pourtant, c'est un omnivore qui se nourrit d'insectes, de vers, d'escargots, de limaces, de fruits, de baies, de champignons, d'œufs cassés et d'oisillons tombés du nid. Il s'attaque même parfois aux serpents, aux lézards, aux rongeurs et aux batraciens. Il a une vue très basse mais son ouïe est fine et son odorat très développé. Il peut détecter la nourriture jusqu'à 3 cm dans le sol et peut entendre un ver de terre se glisser sous des feuilles reproduction La saison de l'accouplement commence à la fin de la période d'hibernation et dure jusqu'en septembre. Après une gestation de 5 à 6 semaines, la hérissonne met bas entre 4 et 7 petits hérissons, parfois deux fois dans l'année. À la naissance, le bébé hérisson est aveugle et pèse entre 10 et 25 g. Sa peau est boursouflée et sans piquants. En quelques heures, son dos se recouvre d'une centaine d'épines blanches, molles et non piquantes. Petit à petit, ces épines blanches vont tomber et des piquants bruns vont apparaître jusqu'à l'âge de quatre semaines où le jeune hérisson possèdera 3 000 piquants bruns et plus un seul blanc. A l'âge de 3 semaines, les jeunes hérissons accompagnent leur mère en promenade nocturne pour apprendre à reconnaître les proies dont ils se nourriront plus tard. Car, pendant 1 ou 2 semaines, leur mère continue de les allaiter dans leur nid. Puis, ils commencent à sortir seuls et à l'âge de 2 mois, ils deviennent indépendants. La famille se disperse et, un mois après la séparation, la mère ne reconnaît déjà plus ses propres petits quand elle les croise sur son chemin. Le taux de mortalité des jeunes hérissons est très important et sur 5 petits, seuls un ou deux atteindront l'âge d'un espérance de vie La durée de vie normale du hérisson est de 7 à 10 ans. Mais actuellement, un hérisson a une espérance de vie de moins de 2 ans. En effet, de nombreuses menaces pèsent sur la vie du hérisson la route et les voitures qui tuent environ hérissons par an en France, les pesticides qui empoisonnent sa nourriture ou la font disparaître, les parasites comme les puces et les tiques, les maladies infectieuses, les noyades dans les piscines et les détritus qui peuvent l'étouffer. Sans oublier bien sûr ses prédateurs le renard, le blaireau, le fouine, le hibou grand-duc, la chouette hulotte, le sanglier, le chien, le chat....Le cri du hérisson Lorsqu'il a peur, le hérisson peut émettre un cri impressionnant. On dit alors qu'il grincaille. Le jeune hérisson à la recherche de sa mère émet un sifflement. Mais surtout, le hérisson fait beaucoup de bruit quand il mange. Il mastique, renifle et grogne particuliers Le hérisson européen est protégé. Il est interdit de le capturer, de le transporter, de le commercialiser ou de le garder chez soi. Mais on peut l'aider, surtout avant la période d'hibernation, en l'invitant à s'installer dans son jardin. Car un hérisson pesant moins de 600 g n'a aucune chance de survivre à l'hiver sans aide fournir un abri aux hérissons ? Il est possible de fournir au hérisson un gîte dans un endroit tranquille et sec sous une haie, contre un mur ou encore dans une dépendance dont il doit pouvoir sortir librement, et lui installer un tas de bois spécialement aménagé ou une caisse conçue pour lui et recouverte de feuilles. Mais il faut le laisser apporter lui-même les matériaux pour la construction de son nid. Le hérisson se nourrira alors des limaces et des divers insectes du potager et sera très utile comme insecticide naturel ». S'il y a besoin de le nourrir, on peut lui donner de la nourriture pour chat ou chiot et de l'eau à boire. Surtout, il ne faut pas lui donner de pain ni de lait de vache car ces aliments lui provoquent des diarrhées mortelles. Découvrez d'autres animaux L'irbisLe koalaLe bisonLe blaireauLe perroquet grisLe putois A lire ailleurs VISITER MAUPITI EN 2 JOURS, UNE ÎLE SAUVAGE ET AUTHENTIQUE Suite à mon article pour t’aider à préparer, planifier et organiser ton voyage en Polynésie, place au récit de notre voyage. Cet article sera donc consacré à nos 2 jours passés à Maupiti. Maupiti, premières impressions… Après nos premiers jours passés sur l’île de Tahiti, nous avons repris l’avion en direction Maupiti où nous allions rester 2 jours. Maupiti est une toute petite île de 10km de circonférence située à côté de Bora-Bora qui est souvent décrite par les locaux comme la petite sœur de Bora. J’avais hâte de voir ça ! Dès l’embarquement, le dépaysement était complet hôtesses de l’air en robes à fleurs, fleurs dans les cheveux… Puis, comme Maupiti se situe complètement à l’ouest de l’archipel et que le ciel était bien dégagé, nous avions une vue superbe sur toutes les îles et leur lagon que nous survolions ! La vue de l’avion sur Maupiti … avoue que ça fait rêver ! À Maupiti, le changement a été radical comparé à Tahiti. L’aéroport se situe sur un motu, un îlot en bordure de lagon, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est très… pittoresque ! Un simple hangar en bois, à 2 mètres de la plage. Ici, pas de contrôle de douanes ni d’interminables heures à rejoindre le dépose bagage. Le paradis ! Nous avons rapidement récupéré nos bagages et fait quelques photos puis nous avons embarqué dans une navette direction l’île principale, où la gérante de notre pension nous a accueillis comme il se doit avec un collier de fleurs fraîches ! Il faut savoir que Maupiti est une île dont les habitants ont vraiment à cœur de garder le caractère authentique et sauvage. Il n’y a donc aucun hôtel, juste quelques pensions de famille et un camping. L’offre touristique étant limitée, il n’y a que un ou deux vols par semaine pour une vingtaine de personne seulement. Soit environ 200 personnes répartis sur l’île et ses motus, polynésiens et touristes inclus. Une île quasi pour nous seuls en somme. Je le répète, le paradis ! Pour plus de facilité, j’avais réservé une pension sur l’île et non sur un motu. En arrivant, nous avons tout de suite été enchanté par ce choix. La pension dispose de bungalows et d’un grand jardin face au lagon, ainsi qu’un grand ponton permettant d’accéder rapidement aux patates de corail ! Il n’en fallait pas plus pour nous inciter à sortir nos masques et tubas et aller faire un petit coucou aux poissons. et premières immersions… A peine entrée dans l’eau que wahou, j’avais l’impression d’être dans un aquarium géant ! Nous n’étions pourtant qu’à un mètre du sol mais la quantité de poissons était impressionnante. Je n’aurais pas cru, mais sous l’eau, il y a tellement de choses à regarder que le temps prend une toute autre dimension. Nous avons bien dû rester presque 2 heures à barboter et contempler cette vie sous-marine si surprenante et colorée. Tu me crois si je te dis que les poissons sont curieux et viennent jouer autour de nous ? C’est vraiment très amusant à voir… Par contre un petit conseil, ne fais pas comme le co-voyageur sur la photo, prévois un T-shirt anti UV si tu ne veux pas te retrouver avec le dos cramé ! Le snorkeling c’est très sympa, mais qu’est ce que ça fatigue! Alors que j’avais envie d’aller photographier le coucher de soleil en attendant de rejoindre nos hôtes à dîner, le décalage horaire a commencé à se faire sentir oui après 4 jours… et je me suis lamentablement endormie. Le co-voyageur m’a réveillé pour le dîner, juste à temps pour que j’immortalise les dernières secondes d’un coucher de soleil qui était sûrement magnifique… Pendant les repas, aussi surprenant que cela soit, et bien je mange ! Je n’ai donc pas de photos pour te montrer les délicieux plats que Dawn nous a préparés pendant notre séjour. Je me souviens cependant que chaque soir, nous avons une entrée et un plat très copieux à base de poisson, principalement du thon, à chaque fois cuisiné différemment, ainsi qu’une corbeille de fruits. Le tout pêché et cueilli sur place, bien sûr. Un vrai régal ! Et puis, ces repas étaient aussi l’occasion d’échanger avec les autres voyageurs logés ici. C’est vraiment une des choses que j’ai le plus apprécié lors de ce voyage, ce style de demi-pension où tous les voyageurs 6-8 personnes max en général se retrouvent pour dîner ensemble, avec ou sans l’hôte selon l’hébergement. Les personnes qui choisissent l’hébergement en pension ont généralement les mêmes valeurs que nous quant à la façon de voyager et par conséquent, les échanges ont été très enrichissants. Aparté culinaire lors de ce voyage, n’étant pas encore végétarienne je n’ai pas été incommodée par la nourriture. Je n’aime pourtant pas le poisson, mais j’avoue qu’ici il était superbement bien cuisiné. Par contre, si je devais y retourner aujourd’hui je serais bien embêtée car à part du poisson, heuuu, tu ne trouves pas grand chose à manger surtout sur les petites îles comme Maupiti. Ou alors tu vas le payer très cher car ce sera un produit importé. Maintenant tu sais à quoi t’en tenir. Danser avec les raies manta… Le lendemain, nous avions rendez-vous pour notre première vraie plongée. La première en mer depuis que nous avions commencé la plongée sous-marine. Nous avions tellement hâte ! Au menu programme les raies mantas qui viennent se faire nettoyer sur une patate de corail. Nous sommes restés plus d’une heure à les regarder tournoyer sous nos yeux ébahis. Je trouve qu’il n’y a rien de plus fascinant et gracieux que les raies. Bon, ok, peut-être les tortues… Mais les raies qui dansent, virevoltent, jouent et se poursuivent à quelques mètres à peine de toi, non, il n’y a vraiment rien de comparable. Un spectacle vraiment magique ! Profiter du paradis… Après cette matinée riche en émotions, nous sommes allés manger au snack de la plage d’où nous avons entrepris la traversée du lagon à pied pour rejoindre le motu juste en face. En effet, à cet endroit du lagon l’eau à 30°C mais est-ce bien la peine de le préciser ? ne dépasse pas les hanches enfin, pour les grands…. Arrivés sur le motu, nous jouissions d’une magnifique vue sur l’île principale… A cet instant précis je me souviens avoir pensé que nous avions vraiment de la chance d’être là. Il faisait beau, chaud, nous étions entourés de sable blanc, de palmiers/cocotiers, d’un lagon bleu turquoise… Honnêtement, je n’avais jamais vu d’endroit aussi “wahou”, sans personne autour de nous ! Cela correspondait exactement à ce que j’espérais trouver en Polynésie. Un paradis sauvage. Même encore maintenant, quand il m’arrive d’avoir le moral dans les chaussettes, je ferme les yeux quelques instants et je repense à ce moment si rare et précieux. Je ressens la douce chaleur du soleil sur mes bras, le vent caresser mes hanches, j’entends le bruissement des feuilles de palmier et le clapotis de l’eau sur le sable. Un souvenir si merveilleusement vivide que je n’ose ouvrir les yeux et briser le charme. Maupiti, c’est mon petit paradis. Comment ne pas terminer une si belle journée sans regarder le soleil se coucher ? Cette fois-ci, pas de sieste improvisée, j’étais au taquet … et je crois que j’ai bien fait … Maupiti est un paradis le jour, mais la nuit aussi. Je n’ai pas eu l’occasion de t’en parler avant mais dans l’hémisphère sud, les étoiles sont plus visibles à l’œil nu. Alors sur une île avec quasi aucune nuisance lumineuse, imagine ! Et si tu n’y arrives pas, voici un petit aperçu… Comme tu sais bien que le paradis n’existe pas, en Polynésie c’est les Nonos, ou puces des sables qui nous ont rendu la vie dure. En fin de journée, si tu veux te promener sur la plage, pense à bien badigeonner tes pieds et tes mollets de citronnelle ou sinon … non, je ne te le dis pas, tu auras la surprise 🙂 Atteindre le sommet… Pour notre dernier jour sur cette île, nous nous sommes levés de bonne heure pour une petite randonnée à la fraîche. Le Mont Teurufaatiu domine l’île du haut de ses 380 mètres et promet une vue magistrale à son sommet. Le début du sentier se situe quelques mètres sur la gauche à la sortie du village, indiqué au niveau d’un escalier. La montée est raide, en partie dans la forêt dans un premier temps avec quelques points de vue qui nous donnent déjà un joli aperçu de ce qui nous attends. Puis, le chemin devient beaucoup plus casse-cou, nécessitant de s’accrocher à des cordes pour grimper sur les rochers et atteindre le sommet. Clairement, la dernière section n’est pas conseillée pour les enfants ou les personnes sujettes au vertige. Mais quelle vue ! Un panorama à 360°C sur toute l’île, ses motus et son lagon aux couleurs irréelles. Je serais bien restée là, à m’imprégner de tous les minuscules détails de ce décor incroyable, mais la chaleur commençait à se faire sentir et ma gorge réclamait son breuvage. Quoi de mieux que de boire une bonne Hinano, la bière Tahitienne, face au lagon après une petite heure à crapahuter? Tu ne sais pas? Moi non plus ! Reposés et rafraîchis, nous avons continué notre journée par le tour de l’île à pied, en prenant le temps de flâner ici et là et d’admirer tout simplement la beauté de cette île pour notre dernière soirée. Tu l’auras sûrement compris, Maupiti restera notre coup de cœur de ce voyage. Une île sauvage, authentique, et des habitants très chaleureux. Nous avons été surpris de constater que tout le monde sans exception nous disait bonjour, même les tout petits enfants ! Visiter Maupiti en 2 jours – le bilan Je me répète, mais vraiment, si tu recherches l’authenticité et l’immersion avec les Polynésiens, c’est à Maupiti que tu trouveras tout ça. Ces 2 jours à Maupiti ont été les meilleurs de mon voyage ! Par contre, sache qu’il y a peu de vols qui desservent l’île, et ceux qui existent ne contiennent qu’une vingtaine de place, la plupart déjà pré-réservée » par les polynésiens. Donc un conseil, réserve ton vol trèèèès tôt. Ce que j'ai aimé Le caractère sauvage et authentique de l’île Le superbe point de vue en haut de la montagne. Si tu veux plus de détails sur les randonnées je t’invite à lire mon article sur les plus belles randonnées de Polynésie. Le lagon et la possibilité de rejoindre un Motu à pied L’hébergement en 1/2 pension sur l’île principale La plongée avec les raies Manta seul spot de Polynésie pour plonger avec les Manta Ce que j'ai moins aimé … je ne trouve pas… ah si, je n’ai pas pu visiter la maison des coquillages, c’était fermé entre 12h et 14h. et les moustiques !!! Conseils pour visiter Maupiti en 2 jours Choisis un hébergement en demi pension pour goûter à des plats locaux. Sinon il y a un snack sur la plage le midi avec une carte restreinte mais très bonne et un restaurant dans le village. Deux nuits et deux jours à Maupiti est à mon avis la durée idéale pour profiter de l’île J’avais hésité entre un hébergement sur l’île ou sur un motu, mais finalement je suis contente de notre pension sur l’île car, selon le motu sur lequel tu te trouves, ça peut être un peu galère de rejoindre l’île. Certains mettent des canoës à disposition mais il faut quand même compter 20 bonnes minutes pour traverser. Ceci est valable pour toutes les îles mais je pense que c’est plus facile à Maupiti car il n’existe que des pensions prends le temps de discuter avec les habitants. Ils ont beaucoup à raconter… Prévois de partir de bonne heure pour la randonnée, car elle est raide et il fait vite chaud! Si tu es très je suis persuadée que la vue au lever du soleil 530 doit être saisissante… Il existe un camping sur le motu que l’on peut rejoindre à pied, cela peut être une expérience originale! Dès le coucher de soleil, prévois des affaires qui recouvriront tes bras et jambes et ne lésine pas sur le monoï à la citronelle l’anti-moustique qui marchait le mieux pour nous Et sinon, juste profite de l’instant et du lieu car tu ne retrouveras pas ça dans les autres îles ! Informations sur notre logement Pension Tautiare Village, très bonne localisation, bungalows très agréables, on recommande! Si tu souhaites plus d’informations sur le détail de mon circuit et les activités réalisées dans chaque île, je t’invite à lire l’article sur le bilan de mon voyage de trois semaines en Polynésie. Que penses-tu de ces 2 jours à Maupiti? Tu as d’autres conseils ou avis sur l’île? N’hésite pas à les partager en commentaire ! Epingle-moi sur Pinterest ! L’adversaire qui a eu raison de Rafael Nadal se nomme ilio-psoas. Un muscle profond qui fait le lien entre les membres inférieurs et le tronc. L’IRM passée mercredi matin à Melbourne a montré une lésion de grade 1 étirement. Des anti-inflammatoires, du repos, de la rééducation et le taureau de Manacor pourra reprendre lors de la tournée américaine son chemin fait de douleur et de gloire son premier titre à Roland-Garros en 2005, Rafael Nadal a manqué six tournois du Grand Chelem. Durant ceux auxquels il a participé, il a encore dû abandonner deux fois 2010 et 2018, chaque fois à Melbourne et déclarer forfait une fois, avant son troisième tour en 2016 à Roland-Garros. Qualifié treize années de suite pour les Masters, il n’a pu y participer que sept fois, dont la dernière forfait après un match ressemblait à un pur acte de déçu après son abandon face à Marin Cilic, et même un peu amer, l’Espagnol fit cette confidence Cela m’arrive plus qu’aux autres. Je ne vais pas me plaindre parce que j’ai gagné plus souvent que presque tous les autres. Mais qui sait, si je n’avais pas eu toutes ces blessures…» Dans son esprit, il serait sans doute lui aussi à 19 titres en Grand Chelem, peut-être même déjà à lièvre et la tortueCe que Nadal et d’autres oublient, c’est que pour gagner, il faut d’abord être en état de jouer. Et que pour gagner beaucoup, il faut jouer longtemps. C’est l’histoire du lièvre et de la tortue, on n’a rien inventé. Et sans doute Roger Federer a-t-il appris la fable à l’école 1387 matches joués, le Bâlois n’a jamais abandonné en cours de partie et n’a déclaré forfait que trois fois. Il n’a manqué que trois tournois du Grand Chelem depuis janvier 2000 dont Roland-Garros 2017 pour convenance personnelle et une seule de ses 16 qualifications pour les Masters n'a pu être honorée. Pourquoi? Parce qu’il a toujours accordé un soin particulier à son aussi Etre nerveux, ça prouve que tu vis»Lorsqu’il devient numéro 1 mondial fin janvier 2004, après avoir remporté Wimbledon en juillet 2003, et donc réalisé ses deux rêves de joueur de tennis, Roger Federer comprend que l’étape suivante consiste à durer. Il n’a eu de cesse depuis de privilégier le long terme, faisant parfois des choix drastiques Coupe Davis. Sa méthode, souvent imitée mais rarement égalée, lui a permis d’éviter les blessures et de se bâtir le plus beau palmarès de l’histoire du dos, épée de DamoclèsDurant sa carrière, Federer n’a pas totalement échappé aux blessures. Dans une interview accordée en 2012, il nous expliquait sa fierté de n’avoir jamais subi ni infiltration ni opération. Il a depuis connu les deux, mais après quinze ans de carrière seulement. Il est probable qu’il ait dû se résoudre à une injection de cortisone pour disputer la finale de la Coupe Davis à Lille en 2014. En 2016, il a subi une arthroscopie du ménisque à l’Inselspital de dos est chez lui un problème récurrent, une épée de Damoclès suspendue au-dessus de son service, qui gâcha notamment sa saison 2013 l’une des moins bonnes de sa carrière et lui coûta peut-être l’US Open et la place de numéro 1 mondial à la fin de l’été 2017. C’est quelque chose qui peut revenir de temps en temps, admet son entraîneur, Severin Lüthi. Chaque joueur a son point faible et à 36 ans, c’est un peu normal. Avec l’expérience, Roger sait parfaitement le gérer. Quand ça revient, c’est chaque fois un peu différent mais on sait très bien combien de temps ça dure.»Même taille, même poids que NadalLa statistique peut-être la plus étonnante concernant Rafael Nadal et Roger Federer concerne leur morphologie. Ils ont la même taille 1,85 m et pèsent le même poids 85 kilos alors que Nadal paraît beaucoup plus massif, plus lourd. C’est peut-être une illusion donnée par les tenues sans manches et le jeu en force du Majorquin. Si Roger Federer a l’air d’être plus léger, plus aérien, son style de jeu l’est corps est une épure, une sorte de perfection tennistique, avec une ossature solide, des épaules très larges, des segments longs, des muscles fins mais également très explosifs. Le haut de son corps ne transporte aucun poids superflu, son bras gauche est, de son propre aveu, décoratif». Ils travaillent sûrement différemment, estime Severin Lüthi, qui observe toutefois que Rafa était plus musclé avant, ses bras notamment étaient plus volumineux.»La partition de PaganiniRoger Federer travaille depuis l’âge de 14 ans avec le même préparateur physique, Pierre Paganini. Issu de l’athlétisme, posant un regard neuf sur le tennis, Paga» a inventé au fil des années des centaines d’exercices. Tous reproduisent les gestes du tennis, très souvent de manière ludique. Presque aucun ne sollicite directement la force. Il n’est qu’à voir le torse de Federer pour comprendre qu’il a peu pratiqué les salles de fil des années, leur relation a évolué et Pierre Paganini a intégré une dimension quasi psychologique à sa préparation physique. Aujourd’hui, dans une séance de deux heures, nous passons bien trente à quarante minutes à parler, expliquait Federer cette semaine dans une interview à la RTS. On parle de tout et de rien. Il veut savoir comment je vais, ce que je ressens, et il adapte le travail en conséquence.»Le respect des trois phasesPartageant la vision à long terme de son élève, Pierre Paganini lui a très tôt montré l’importance de découper la saison en plusieurs périodes comportant chacune trois phases préparation, compétition, récupération. Roger Federer fut le premier à établir cette programmation et reste le plus assidu à la mettre en pratique. C’est une erreur que l’on voit beaucoup chez les joueurs moins bien classés, constate Severin Lüthi. Ils veulent chasser les points et jouent tournoi après tournoi. Mais au bout d’un moment, ils en paient le prix physiquement, parfois même sans s’en rendre compte.»C’est bien beau mais lorsque l’on est bien classé, le circuit nous impose de jouer les grandes épreuves, sous peine de fortes amendes, objecte Timea Bacsinszky. Soit Rog' est exempté d’amendes, soit cela ne lui fait rien de les payer.» Eliminée en première semaine, la Croate Mirjana Lucic-Baroni estime qu’il est possible malgré tout d’aménager son calendrier. C’est la seule manière de durer.»Inégalité devant la blessureReste une dernière explication à la longévité de Roger Federer. Le don, la chance. Tous ne sont pas égaux devant la blessure. Certains se blesseront constamment et d’autres traverseront leur carrière sans aucun pépin, constate le docteur Finn Mahler, directeur médical du Swiss Olympic Medical Center à l’Hôpital de la Tour à jour, Roger Federer nous montra la paume de sa main droite. Elle était recouverte sur la moitié de la surface par une épaisse corne. Ce n'était pas très beau à voir. Je n’en suis pas fana, surtout quand je sors du bain, ça me fait la main toute fripée. Mais bon… En même temps, je n’ai presque jamais d’ampoules, au contraire de beaucoup de joueurs.» Dont Rafael Nadal, qui battit Federer en demi-finale de l’Open d’Australie en 2014 malgré une plaie à vif dans la paume de sa main droite. Il perdit ensuite contre Stan Wawrinka, dans une finale où il se blessa. Le dos, cette fois. Pourquoi Corvo ? Pour son cratère absolument époustouflant ! Le site n’est semblable à aucun autre et fait, à lui seul, toute la notoriété de l’île. Venez aussi pour la chaleur de vivre des habitants, dont la population totale ne dépasse pas les 500 âmes. Comment y aller ? En avion tout au long de l’année ou en bateau depuis Santa Cruz da Flores. Pensez à réserver via azoresairlines ou atlanticoline. Combien de temps y rester ? Une journée d’exploration sera suffisante mais rien ne vous empêche d’y rester une nuit pour profiter d’une soirée animée avec la communauté et soutenir le tourisme local. Déplacements sur place Au choix en voiture et à pied. L’île est très peu peuplée, ne comptez donc pas sur un service de transports en commun. Où dormir ? Comme je le disais, il n’est pas nécessaire de dormir sur place pour faire le tour de Corvo. Cependant, si tel est votre souhait, pourquoi ne pas louer directement chez l’habitant ? Sinon, jetez votre dévolu sur un des petits hôtels de l’île. Notre sélection de lieux à voir La cuve verte de Caldeirao Nature Points de vue Petite par sa taille, grande par son cratère ! Avec 2,3 km de diamètre et 300m de profondeur Le Caldeirao est la plus belle carte de visite de Corvo. ✨ Telle une toile panoramique, votre œil se perdra dans cette vaste palette de vert et de bleu. Les points d’eau font le bonheur des vaches en liberté qui profitent paisiblement dans cette merveille naturelle. L’endroit est bien choisi pour une pause pique-nique, vous ne trouvez pas ? Que vous dominiez le site depuis ses hauts-reliefs circulaires ou en contrebas, sur le matelas de verdure tendre, il vous faudra lever les yeux au ciel… Quoique, encore faut-il pouvoir l’apercevoir ! Eh oui, un épais nuage brumeux a ses habitudes dans les environs, au-dessus de ce cratère tout particulièrement. Il ne vous cachera pas la splendeur de ce lieu exceptionnel mais contribue nettement à sa mystification. Prenez donc une grande inspiration et éveillez vos sens C’est un site qui mérite toute votre attention. Voir plus La plongée à Corvo Plongée Observation de la faune Mer Le conseil de Lolita À vos palmes ! Pour plonger aux Açores, nous vous conseillons vivement la période de mi-mai à mi-octobre. 😉 Perdue au milieu de l’Atlantique nord, l’archipel des Açores est un sanctuaire marin pour de nombreuses espèces, aussi rares que remarquables. Faisant par la même occasion, le plus grand bonheur des plongeurs et observateurs d’animaux marins. Parmi les 9 îles prolifiques des Açores, Corvo ne fait pas exception. Vous aussi, nagez à la rencontre de la biodiversité sous-marine de Corvo ! Dans les profondeurs de ses eaux riches et abondantes, tortues de mer, murènes, poissons en banc et dauphins espiègles vous réserveront le plus beau des accueils. S’il s’agit de votre baptême, ne craignez pas les requins, ils ne font que passer ! Sinon, les récifs grouillants de vie et d’écailles cachent plus d’une perle dans leurs recoins. Gardez en tête qu’en prenant part à ce balai bleu, vous serez au cœur d’une des réserves marines les plus grandioses de notre planète. Savourez chacune des vagues et des rencontres lors de ce spectacle inoubliable. Voir plus L’exclusive plage d’Areia Plage Détente Également surnommée Portinho da Areia, je vous présente l’unique plage de l’île de Corvo ! En forme de croissant de lune, elle est composée de sable noir d’origine volcanique et saupoudrée de minuscules coquillages. Le cadre est adorable, plutôt intime. Tout autour, les roches et petites montagnes jouent les garde-côtes. Si la météo se prête au jeu, la poignée d’âmes qui peuplent l’île pourraient toutes vouloir s’y prélasser ou se jeter à l’eau ! Toutefois, un tel scénario de ruée vers l’or est peu probable, vous aurez probablement la plage pour vous tout seul ou presque. Si possible, prenez le temps de vous accorder cette petite parenthèse iodée et à l’abri de tout. C’est semble-t-il un des nombreux bienfaits de Corvo l’île retraite. Voir plus Vila do Corvo, les retrouvailles au bout du monde Village Le conseil de Lolita Faîtes confiance aux habitants, il n’y a pas que le Caldeirao à découvrir sur Corvo. Asseyez en terrasse d’un café pour discuter et partager des anecdotes. Comme un moment privilégié pour vous imprégner un peu plus encore de l’art de vivre des habitants. Chaleur, gentillesse et convivialité, oh oui ! Vous trouverez tout cela à Vila do Corvo. Après tout, lorsqu’on vit sur une île qui peut tenir dans un mouchoir de poche, cela resserre forcément les liens. 🥰Le ravitaillement de Corvo dépend entièrement de l’île voisine, Flores. Une vie qui oscille entre dépendance et adaptation bien que les habitants l’assurent, ils ne manquent de rien. Le village au nom éponyme - bien que la population ne dépasse pas les 500 habitants – est tout de même équipé d’un aéroport ET d’un port. De l’église Nossa Senhora dos milagres que vous pourrez visiter si vous le souhaitez. Ses ruelles pavées sont plus courtes que l’adjectif lui-même et la simplicité de la vie quotidienne émane naturellement des locaux. Tous se connaissent et les familles peuvent être établies ici depuis des générations. Voir plus L'observation des oiseaux Observation de la faune Nature À l’arrivée de l’automne, Corvo se transforme peu à peu pour accueillir un tout nouveau genre de touristes… Des oiseaux américains. Pour ceux qui l’ignorent, l’île n’est pas seulement un sanctuaire marin, c’est aussi un authentique pied-à-terre pour les volatiles qui ont entamé la traversée de l’Atlantique. N’est-ce pas l’occasion rêvée de vous essayer aux joies de l’ornithologie ? Hitchcock n’a qu’à bien se tenir, Corvo est d’ailleurs considérée comme une des meilleures destinations pour cette activité. Particulièrement entre septembre et octobre lorsque l’île se fait l’hôte de centaines d’oiseaux accidentels, notamment des passereaux. Sa petitesse et ses paysages dégagés - l’unique surface boisée se trouvant dans d’étroites vallées à l’est de l’île - facilitent l’observation. C’est également une des nurseries favorites des bécassines des marais, qui viennent en masse pour s’y reproduire. Il n’en fallait pas plus pour nous donner des ailes et nous pousser jusque-là. 😊 Voir plus

combien de temps une tortue peut rester sur le dos