Plusd'infos sur le spectacle "Faux Départ" de Jean Marie Chevret à Saint Pierre Quiberon. En 2004, la retraite a un parfum de fin d'adolescence. Pour Jeanne et Antoine Marmion, tout jeunes inactifs, c'est l'heure de concrétiser les rêves. Si Antoine a dans la tête "une petite maison dans la prairie", Jeanne fantasme sur le parfum des
VVlX. Et la Mère, fermant le livre du devoir,S'en allait satisfaite et très fière sans voir,Dans les yeux bleus et sous le front plein d'éminences,L'âme de son enfant livrée aux répugnances. Tout le jour, il suait d'obéissance ; très Intelligent ; pourtant des tics noirs, quelques traitsSemblaient prouver en lui d'âcres l'ombre des couloirs aux tentures moisies,En passant il tirait la langue, les deux poingsÀ l'aine, et dans ses yeux fermés voyait des porte s'ouvrait sur le soir à la lampe On le voyait, là -haut, qui râlait sur la rampe,Sous un golfe de jour pendant du toit. L'étéSurtout, vaincu, stupide, il était entêtéÀ se renfermer dans la fraîcheur des latrines Il pensait là , tranquille et livrant ses lavé des odeurs du jour, le jardinetDerrière la maison, en hiver, s'illuminait, Gisant au pied d'un mur, enterré dans la marneEt pour des visions écrasant son oeil darne,Il écoutait grouiller les galeux ! Ces enfants seuls étaient ses familiersQui, chétifs, fronts nus, oeil déteignant sur la joue,Cachant de maigres doigts jaunes et noirs de boueSous des habits puant la foire et tout vieillots,Conversaient avec la douceur des idiots !Et si, l'ayant surpris à des pitiés immondes,Sa mère s'effrayait; les tendresses, profondes,De l'enfant se jetaient sur cet bon. Elle avait le bleu regard, - qui ment ! À sept ans, il faisait des romans, sur la vieDu grand désert, où luit la Liberté ravie,Forêts, soleils, rios, savanes ! - Il s'aidaitDe journaux illustrés où, rouge, il regardaitDes Espagnoles rire et des venait, l'oeil brun, folle, en robes d'indiennes,- Huit ans, - la fille des ouvriers d'à côté,La petite brutale, et qu'elle avait sauté,Dans un coin, sur son dos, en secouant ses tresses,Et qu'il était sous elle, il lui mordait les fesses,Car elle ne portait jamais de pantalons;- Et, par elle meurtri des poings et des talons,Remportait les saveurs de sa peau dans sa chambre. Il craignait les blafards dimanches de décembre,Où, pommadé, sur un guéridon d'acajou,Il lisait une Bible à la tranche vert-chou ;Des rêves l'oppressaient, chaque nuit, dans l' n'aimait pas Dieu ; mais les hommes, qu'au soir fauve,Noirs, en blouse, il voyait rentrer dans le faubourgOù les crieurs, en trois roulements de tambour,Font autour des édits rire et gronder les Il rêvait la prairie amoureuse, où des houlesLumineuses, parfums sains, pubescences d'or,Font leur remuement calme et prennent leur essor ! Et comme il savourait surtout les sombres choses,Quand, dans la chambre nue aux persiennes closes,Haute et bleue, âcrement prise d'humidité,Il lisait son roman sans cesse médité,Plein de lourds ciels ocreux et de forêts noyées,De fleurs de chair aux bois sidérals déployées,Vertige, écroulement, déroutes et pitié !- Tandis que se faisait la rumeur du quartier,En bas, - seul et couché sur des pièces de toileEcrue, et pressentant violemment la voile !
Le bocal à con, ludique, efficace, unique!La plupart du temps, les solutions élaborées par les clients sont trop personnelles pour pouvoir être utiles à d’autres. Cependant, parfois, leurs caractéristiques métaphoriques peuvent les rendre transformables en véritables outils exploitables par bon nombre de l’autre jour, voilà ma cliente A., avec qui je travaille sur le relationnel professionnel, qui me lance une de ses œillades malicieuses dont elle a le secret et m’explique qu’elle et son mari sont les heureux inventeurs d’un concept qu’ils auraient du breveter il y a plus de 20 ans le bocal à reste sans voix. Je suis éblouie par le potentiel phénoménal, l’étendue du champ d’action possible d’une telle idée. Merci donc à A. qui non seulement m’a fourni un outil ludique et efficace, et qui en plus m’a autorisée à le partager avec conceptLe concept est ultra simple. Quand nos tentatives bienveillantes pour améliorer les relations avec un abruti donné ont échoué, il s’agit tout simplement d’imaginer qu’on place ledit abruti dans un bocal. Car le con, une fois coincé dans un bocal hermétiquement fermé, a beaucoup plus de mal à nuire Il n’a plus de son, plus d’odeur. De plus, pour peu qu’on ait choisi un bocal en verre, les parois arrondies lui déforment la figure, nous donnant une sorte de caricature de notre abruti qui diminue grandement l’emprise que ses comportements ont sur nous. Regardons-le, enfermé dans son bocal ni ses mots, ni son agressivité, ni ses petites et grandes manipulations, ou encore ses comportements de persécuteur, ses attitudes et manies qui nous insupportent ne parviennent à franchir la barrière de verre qui le sépare de nous. Le con est devenu inoffensif, bocal peut ensuite être placé sur une étagère décorative, au fond d’un placard ou encore planqué à la cave. Selon la nature de notre relation au con en question et la solution qui nous convient le mieux, nous pouvons choisir de ranger notre con à la place qui lui du genre agressif ou soumis? Au lieu de vous cataloguer un peu trop vite, admettons qu’en fait, ce n’est probablement ni l’un ni l’autre! Plutôt un mélange savant et unique des deux, en fonction des circonstances. Partons donc en exploration des comportements hérissons et paillassons, et trouvons le juste milieu… Hérisson/Paillassondevenir assertif au lieu de réagir en paillasson ou hérisson/Comportements et estampilles hâtivesLes catégories, genres, étiquettes, ainsi que les adjectifs qui vont avec, sont fort utiles en simplifiant le monde ils le rendent lisible, compréhensible, avons donc tendance à coller des estampilles de préférence hâtives et souvent définitives sur un maximum de choses. Comme ça, pas de surprise, nous savons à quoi nous en tenir / nous attendre et à partir de quelles généralisations abusives ou de quelles convictions construire notre perception du monde en général et des autres en hic avec les étiquettes, c’est qu’elles sont vite erronées notre personnalité n’est pas figée et même le copain le plus saule pleureur est capable de nous étonner par son enthousiasme aussi soudain qu’inattendu vis-à -vis d’un d’un nouveau en va de même dans nos relations nos réactions sont souvent davantage une question de circonstances que de nature. Quand elles s’y prêtent, l’ours peut se transformer en mouton, la poule mouillée en peau de vache, le dragon en gentil pouvons aussi passer d’un extrême à l’autre, avec de temps en temps des éclairs de génie pendant lesquels nous ne sommes plus ni hérissons ni paillassons, mais bels et bien assertifs, c’est à dire que nous nous affirmons tout en prenant en compte et en respectant les intérêts des autres parties – bref, nous sommes capables d’être Vs PaillassonL’imagerie animalière regorgeant d’expressions appropriées, continuons dans ce registre aussi gaiement que le pinson entame une chanson. C’est bien connu chat échaudé craint l’eau froide. Du coup, face à une situation ou un comportement qui lui déplaît, différentes réactions sont possibles et parmi elles, les réactions hérisson ou se peut alors qu’il se retrouve à montrer les crocs, toutes griffes dehors, prêt à monter sur ses grands chevaux, à distribuer les chiens de sa chienne, à chercher des poux dans des têtes, à secouer des puces, à clouer des l’autre bout de la ligne, à force de ménager la chèvre et le chou, d’être doux comme un agneau, voilà notre matou échaudé qui peut tout aussi bien se retrouver fermé comme une huître, enfermé dans sa coquille, voire prêt à se faire pigeonner, à avaler toutes les couleuvres, bref dindon de la farce, bouc-émissaire, fait comme un entre réaction agressives et retrait excessif soumis au bon vouloir d’autrui, les expressions d’un égo malmené par les circonstances s’expriment au détrimentde la relation à soi la dévalorisation et la perte d’estime de soi ne sont pas la relation à l’autre en générant des interactions déséquilibrées en mode le greffier n’a pas forcément besoin qu’on le prenne sous son aile pour retomber sur ses pattes et réagir avec une affirmation de soisereine et respectueuse de l’autre, cette gentillesse ni serpillière ni prison qui caractérise ceux qui sont sortis de l’égo au profit d’une estime d’eux-même capable d’accueillir l’autre, y compris dans ses défauts. Et ce sans se soumettre à lui ou le passer à la moulinette de ses propres vertus outragées. Pour exemple, faites donc un tour du coté de la vidéo de cet admirable minet champion de l’affirmation de si notre greffier héros du jour ne craint pas les crocodiles, ça ne signifie pas pour autant qu’il ne craint personne. On peut parfaitement imaginer que ce chat-là ait du mal à prendre la parole en réunion. La plupart d’entre nous agissons parfois en hérisson, parfois en paillasson, et nous gagnons tous à identifier ces situations et ce qu’elles nous renvoient pour renforcer notre assurance et notre aisance coaching connaissance de soi – hérisson et paillassonBon, arrêtons-là le bestiaire / bêtisier de nos relations et penchons-nous sur nos mécanismes relationnels pour identifier nos circonstances paillasson et nos circonstances hérisson dans le but de faire un premier pas de loup? vers l’assertivité et un environnement relationnel qui ne ressembe pas à un panier de crabes promis, maintenant j’arrête. Il s’agit donc bien d’un pas vers la sortie du triangle dramatique / relationnel / infernal de ce bon vieux quels types de situations avez-vous tendance à être hérisson? Paillasson?Avec quels types de personnes avez-vous tendance à être hérisson? Paillasson?Qu’est-ce que ça vous dit sur vous-même?Sur vos besoins?Qu’avez-vous besoin d’apprendre, de renforcer, de développer pour vous affirmer davantage, avec douceur et fermeté? carotte, l'oeuf et le inconnuereçu de ChabellaVous ne regarderez plus jamais une tasse de café de la même jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle peut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre mère l'amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des oeufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus. Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière. Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les oeufs et les place dans un bol. Puis, elle verse le café dans une tournant vers sa fille, elle dit "Dis-moi, que vois-tu?""Des carottes, des oeufs et du café", répondit sa femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu'elles étaient toutes molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un oeuf et observa qu'il était cuit dur. Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme fille demanda alors, "Qu'est-ce que ça veut dire maman?" Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagit carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau."Lequel es-tu?", demanda la mère à sa fille. "Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu? Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café?"Penses-y?Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l'adversité devient molle et perd sa force?Suis-je un oeuf qui commence avec un coeur malléable, mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur? Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur?Ou suis-je comme un grain de café? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur faites-vous face à l'adversité? Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café?Un petit garçon de 8 ans rejoint son père, scientifique, qui cherche à résoudre les problèmes de l’ terrorisme, abus, scandales,,, absorbent la réflexion du petit garçon entre dans le bureau, tire la manche de son papa et lui dit Papa, je veux t’aider ! »Son père le renvoie Non non, mon fils, j’ai beaucoup de travail. »Mais le petit y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu’il lui remet avec de la colle Voilà , essaie de reconstruire le monde. »Il croit occuper ainsi son fils pour une dizaine de après deux heures, le fils a résolu le problème et revient voir son père.» Comment as-tu pu faire cela ? » lui dit le père interloqué.» Eh bien, Papa, j’ai vu que l’autre côté de la carte, il y avait la figure d’un homme. Le monde, je ne le connais pas. Mais l’homme, si. Alors, j’ai retourné tous les petits papiers. Et j’ai d’abord reconstruit l’homme. Puis, j’ai retourné le papier, j’avais reconstruit le monde aussi. »L’histoire du Loup Blanc et du Loup NoirC’est l’histoire d’un enfant qui, comme tous les enfants, joue, rêve et se pose beaucoup de bonnes jour, il va voir son grand-père considéré comme le vieux sage du lui demande Dis-moi, Grand Père, qu’est-ce qu’un Homme ? »Alors son grand-père, avec ses mots, l’emmène en voyage. Il lui parle de territoires immenses, connus et inconnus, des loups qu’on y lui raconte le loup noir, sombre, manipulateur, envieux, colérique, hargneux et menaçant, qui hurle la nuit, se cache, se bat avec les uns et dévore les autres, terrifie, domine par la peur et lui raconte aussi le loup blanc, accueillant, équitable, joyeux, solidaire et fraternel. Pacifique, lucide, il protège les siens et soutient les autres, attentif, généreux et il lui dit Tu vois, l’Homme a ces deux loups en lui. Chacun de nous abrite en lui un loup noir et un loup blanc qui ne cessent de s’affronter. »L’enfant réfléchit et lui demande » … et c’est lequel qui gagne ? »Alors, le vieux lui répond doucement Celui qui gagne, …… c’est celui que tu nourris. »Jolie métaphore qui nous raconte. Cette dualité nous fait parfois souffrir. A l’adolescence, période particulièrement vulnérable, cette lutte est souvent à l’origine de confusions et de comportements chaotiques qui favorisent un mal être et une perte de cette histoire, nous sommes partis pour élaborer un parcours concret et efficace. Associant coaching scolaire, développement personnel, neuroéducation la réussite et l’épanouissement ne s’acquièrent durablement que par un regard global sur notre singularité et une réconciliation avec son Loup Blanc, c’est retrouver confiance en soi, développer l’estime de soi, comprendre ses leviers de motivation, renforcer sa concentration, devenir responsable de ses choix et atteindre ses
Publié le 22/04/2011 à 0745 La 4e édition de Welcome in Tziganie s'ouvre demain, à Endoumingue. Sur sa scène fanfares de l'Est, balkans beats, orchestres flamencos et traditionnels roumains. Président fondateur de l'association L'Air des Balkans, le Mirandais FlorianCalvez est le plus jeune des présidents de festivals gersois. Il a 24 ans. Son sourire est ravageur et ses convictions bien trempées. Elles lui ont permis, à 20 ans, d'inventer le dernier né des festivals de musique du Gers Welcome in Tziganie. En fait, la première édition qui a eu lieu à La Fenière, à Pavie, n'était autre qu'un projet d'étude dans le cadre de mon BTS tourisme », rappelle le jeune président ; il a, depuis, bifurqué vers le spectacle et la production. Le succès en appelant un autre, on sait qu'il y a un an, Welcome in Tziganie, en quête d'espace, s'est délocalisé à Auch. En 2010, il a enregistré entrées en deux soirs. Mais qu'est-ce qui fait courir le public vers des musiques jusqu'ici méconnues ? Peut-être bien ce qui a conduit Florian Calvez sur le chemin d'un peuple aux semelles de vent ; peuple dont la musique a épousé les couleurs des contrées qu'il lui a fallu traverser de l'Inde à l'Andalousie. C'est par le cinéma de Tony Gatlif et d'Emir Kusturica que j'ai découvert ces musiques des pays de l'Est. Elles ont maintenant des groupes dans la région et aussi des scènes », indique Florian, trompettiste formé par le tubiste Max Fouga à l'harmonie de Mirandaise. Un chapiteau concert de 800 places debout ; un second chapiteau pour la restauration. Entre les deux, des calicots pour abriter une librairie, un disquaire et une plasticienne manouche. Le festival est planté dans la prairie d'Endoumingue couleur boutons d'or. 75 bénévoles vont y accueillir 70 artistes parmi lesquels des incontournables de la scène tzigane européenne. Dans un décor inattendu, réalisé grâce aux prêts d'Emmaüs, le public va pouvoir écouter… mais aussi danser. repères Le chiffre 20 € > Le pass festival. Si non, les prix d'entrée sont à 14 et 12 € le 23 avril ; à 12 et 10 € le 24 avril. Deux soirs de concerts Demain 19 heures, Alma Flamenca flamenco fusion ; 21 heures, Kesaj Tchavé groupe d'enfants tziganes de Slovaquie ; 23 heures, Kocani Orkestar un gypsy brassband, avec une forte section de cuivres funky originaire de Macédoine. Dimanche 24 avril 19 heures, Haïde bazar de musique des Balkans et d'Orient ; à 21 heures, Les étoiles de Roumanie cinq solistes tziganes roumains réunis pour Auch ; 23 heures, Mahala Raï Banda répertoire traditionnel de Moldavie avec une énergie rock. Pendant les deux jours, le village-festival s'anime dès 14 heures. Réservations au Infos Pratiques Date 23 avril au 24 avril
Elodie Poux nous présente son spectacle “Le syndrome du playmobil”. Récompensée par une multitudes de prix dans plusieurs festivals partout en France. Assistée de Florent Longépé à la mise en scène, ce one woman show est un savant mélange entre stand-up et une bonne dose de personnages décalés. L’opinion de La Luciole Après avoir survécu à douze années en école maternelle, Elodie Poux nous raconte son “amour” pour les enfants. Pétillante mais légèrement déjantée, elle nous transmet sa folie. Et on adore. Les bambins, c’est sa passion. Enfin… c’était sa passion. Elle en garde quelques séquelles et a donc décidé d’en faire le thème principal de son spectacle. À travers des situations que l’on a tous déjà vécus, Elodie réussit à nous faire rire grâce à ses interprétations plus vraies que natures. On s’est tous déjà retrouvés, au bord de la piscine, au calme, perdus dans nos pensées. Et soudain, c’est le drame… Les enfants qui hurlent, les parents qui les ignorent… L’enfer ! De Kimberley, la petite fille obèse qui se prend pour une princesse, à Tarama et Sephora à la plage, c’est un festival de bons mots et de vannes. Autant à l’aise dans l’interprétation de ses personnages que dans l’improvisation avec son public, Elodie Poux sait créer une vraie proximité avec ses spectateurs. On passe un excellent moment, et malgré un humour parfois très noir, on s’attache à Elodie car il y a évidemment beaucoup d’amour et de douceur. Et finalement, on est tous atteint du syndrome du Playmobil. Pour savoir ce que ça signifie, une seule solution, allez applaudir Elodie Poux sur scène. Au Citron Bleu jusqu’au samedi 21 janvier. Réservations
Exclusif - Richard Berry, sa petite fille Elise Petit et Nikos Aliagas - Surprises - Backstage de l'enregistrement de l'émission "La Chanson secrète 5", qui sera diffusée le 11 janvier 2020 sur TF1, à Paris. Le 17 décembre 2019 © Gaffiot-Perusseau / Bestimage enfant de star famille cinéma justice people france photo News people Retour article Richard Berry face aux accusations d'inceste sa fille Coline entendue par les enquêteurs © BestImage, Gaffiot-Perusseau
elodie poux petite maison dans la prairie