Monialeatypique, elle inaugure dans des temps difficiles une nouvelle manière de penser les rapports entre foi et pouvoir, entre liberté de conscience et responsabilité collective, une manière digne de la démarche d’un Luther. Dans son écrit majeur appelé Denkwürdigkeiten (« Notes mémorables »), une sorte de journal de résistance (1524-1528), elle rend compte de la lutte et
Dansson édition papier, cet article est accompagné d'illustrations de Sarah-Louise Barbett. Ces denrières sont visibles dans le PDF associé à l'article. Ces denrières sont visibles dans le PDF associé à l'article.
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ForumCatholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Sous le regard des trois Blancheurs, suivre Jésus et Marie fut-ce au milieu des pires tempêtes, mais dans la
I9PjK. SeLoger. Quels types de biens sacrés » avez-vous l’occasion de vendre ? Julien Haussy. Nous pouvons vendre différents types de biens religieux, il s’agit par exemple de couvents, de presbytères, de chapelles, et plus récemment nous avons même vendu une église près de Bordeaux. Mais les églises et les chapelles restent plus rares. Cet ancien couvent, situé près de Saint-Jean-d'Angély, a été particulièrement bien sauvegardé. © Espaces Atypiques La vente de biens immobiliers religieux est-elle un phénomène nouveau ? Ce n’est pas un phénomène nouveau et il n’y en a pas tant que ça. Nous avons essentiellement des presbytères et des couvents, ce sont les biens qui constituent la majorité des biens religieux à vendre. Les églises en tant que telles sont plus difficiles à dénicher. Nous en avons, par exemple, vendu une récemment qui se situe près de Bordeaux, mais elle fait partie des biens rares parce qu’il faut désacraliser le bien avant qu’il ne puisse être vendu. Les Anglo-Saxons désacralisent plus facilement ces biens, mais en France, c’est beaucoup moins évident. De plus, les églises et les chapelles tombent le plus souvent dans le domaine public et le bien est généralement désacralisé lorsque la commune n’a plus les moyens de l’entretenir, c’est donc elle qui finit par le mettre en vente. Située à Avignon, cette ancienne chapelle a conservé sa voûte gothique. © Espaces Atypiques Presbytères, chapelles, l'acquereur peut-il les transformer comme il veut ? Il peut transformer comme bon lui semble l’intérieur du bien. En ce qui concerne l’extérieur, l’Architecte des Bâtiments de France continue d’intervenir pour assurer la protection et la préservation du bien. Mais certaines transformations sont possibles, même si elles sont encadrées par l’Architecte des Bâtiments de France. Par exemple, dans une église ou une chapelle, il faut généralement créer des ouvertures, des fenêtres, ce qui n’est pas le cas des presbytères ou des couvents qui faisaient déjà office d’habitation. A l’intérieur, tout est possible et puis les personnes, qui acquièrent ces biens, souhaitent respecter l’édifice religieux, le mettre en valeur et le préserver au maximum. Cet ancien presbytère, situé dans le Gard, abrite une habitation de 200 m². © Espaces Atypiques Qui achète ce type de biens immobiliers ? Déjà, ce sont toujours des amoureux de la vieille pierre. Mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce sont rarement des catholiques pratiquants qui achètent ces biens pour sa dimension religieuse. Ce sont plutôt des personnes qui ne sont pas vraiment croyantes. Il faut dire que pour certains pratiquants, transformer un bien religieux n’est pas une démarche évidente car cela signifie en quelque sorte transgresser les lois. Situé à Sesseyl, en Haute-Savoie, cet ancien couvent a gardé ses voûtes majestueuses. © Espaces Atypiques C’est généralement dans les petits villages ayant peu de moyens que l’on trouve davantage de biens sacrés » à transformer ». Julien Haussy, dirigeant et fondateur de Espaces Atypiques. Si l’on recherche un bien religieux à acheter, y a-t-il des secteurs à privilégier ? Pas vraiment, et d’ailleurs, la démarche des personnes qui achètent ces biens n’est jamais d’acheter un bien religieux. Ce sont des personnes qui recherchent un bien ancien, et c’est le lieu et l’opportunité qui vont créer le coup de cœur. Beaucoup visitent d’anciennes chapelles, d’anciens couvents ou presbytères et se disent que finalement, le charme est intact, la hauteur sous plafond est importante, et concernant les biens à transformer, le prix est généralement très correct. Cette église, située à Latresne, à quelques encablures de Bordeaux, a été vendue en 2 semaines. © Espaces Atypiques Vous vendez surtout des biens à transformer ou qui ont déjà fait l’objet de transformations auparavant ? Ce sont essentiellement des biens déjà transformés en habitation, en tous cas en ce qui concerne les presbytères et les couvents la plupart du temps. En revanche, lorsque nous entrons une chapelle ou une église à vendre, on retrouve les deux cas de figures. Les chapelles sont davantage transformées car elles sont plus souvent déjà privées. Elles étaient rattachées à un château ou une propriété qui bénéficiait de sa propre chapelle. Les églises à transformer sont extrêmement rares, et ces projets sont souvent tournés vers l’ouverture de chambres d’hôtes par exemple. Les acquéreurs de ce presbytère, situé dans le Lubéron, ont su préserver l'authenticité des lieux. © Espaces Atypiques Le prix de la rénovation coûte environ 1 000 à 2 000 €/m² ». Julien Haussy, dirigeant et fondateur de Espaces Atypiques. Quel est le prix à prévoir pour acheter un bien religieux ? Lorsque les biens ne sont pas encore transformés, ils ne sont pas si faciles à vendre car il faut avoir un projet de rénovation important, et souvent, ils ne se vendent pas très cher. Le coût de la rénovation est en moyenne de 1 000 à 2 000 € le m², ou plus pour des projets exceptionnels. Mais une fois que le bien est rénové et transformé, ils valent bien plus cher, cela dépend du secteur et du type de bien. Ces biens obéissent aux mêmes règles que l’immobilier d’une façon générale les prix sont fixés selon la localisation, l’état du bien, la surface, etc. Cet ancien hospice, situé à Morannes, dans le Maine-et-Loire, a concervé toute son authenticité. © Espaces Atypiques Y a-t-il des endroits où l’on trouve davantage de biens sacrés » ? Il y en a pas mal dans l’ouest de la France, dans les Pays de la Loire, vers Angers, vers Nantes. Ils sont souvent en périphérie des villes voire majoritairement en campagne. Mais on en trouve un peu partout et de temps en temps, de façon plus rare, on en trouve plus près des villes.
On n'accordera pas facilement l'entrée à celui qui veut s'engager dans la vie religieuse ; mais on fera ce que dit l'Apôtre "Eprouvez les esprits pour discerner s'ils sont de Dieu." 1Jn 4,1. Si le postulant persévère à frapper à la porte, et s'il supporte patiemment les difficultés ... s'il persiste dans sa demande ..., il obtiendra alors la permission d'entrer. On lui donnera, pour le conduire, un ancien qui soit apte à gagner les âmes et qui veillera sur lui, examinant attentivement si le novice cherche vraiment Dieu... On lui fera connaître toutes les choses dures et âpres par lesquelles on va à Dieu. -Règle de saint Benoît, ch. 58 La vocation est perçue par celui que la reçoit de manière variée. Chez les uns, il s'agit d'un vague désir de consacrer sa vie à Dieu, à l'Église, ou à la personne du Christ. Chez les autres, une attirance explicite vers la vie monastique est présente dès les débuts. Le discernement d'une vocation est un art. Il s'agit d'aider la personne à percevoir et à accepter la volonté de Dieu à son égard, c'est-à-dire ce qui rendra cette personne profondément heureuse. Les étapes Les premières approches Durée indéterminée. Elles commencent par un ou plusieurs séjours à l'hôtellerie avec la possibilité de travailler avec les frères. Postulant Durée 9 mois, renouvelables deux fois. Le postulant se joint à la communauté en toutes choses et voit régulièrement le maître des novices. Novice Durée 2 ans. Si le postulant fait la demande de devenir novice, une simple décision de l'abbé après avoir pris conseil suffit. Le postulant reçoit alors l'habit des novices robe blanche, scapulaire et ceinture blancs. Jeune profès ou profès temporaire Durée 3 ans. Si le novice fait la demande de prononcer des vœux pour trois ans ou pour un an renouvelable deux fois, la communauté se rassemble en chapitre conventuel, réservé aux profès solennels pour discuter de son cas. Un vote à la majorité absolue est nécessaire. Le novice prononce alors ses vœux au chapitre. Profès solennel Durée usque ad mortem. Si le jeune profès fait la demande de devenir moine définitivement, de nouveau le chapitre conventuel est convoqué et un vote est nécessaire. Le moine prononce alors ses vœux solennels à l'église au cours de l'Eucharistie. Sacerdoce éventuellement La vocation sacerdotale n'est pas un élément essentiel à la vocation monastique mais elle ajoute, pour celui qui en a reçu l'appel, un aspect très important et qui l'aide à s'unir davantage au Christ souverain prêtre. Après toutes ces étapes, le moine entame la plus difficile celle de la persévérance sa vie durant. Plus de détails sont disponibles dans les Constitutions de notre ordre.
J’ai 70 ans et j’aimerais entrer dans un monastère, est-ce possible ? », Jeune retraitée, j’aimerais faire une retraite d’un an dans une communauté religieuse, où puis-je aller ? ». Voici des questions récurrentes posées par les internautes sur avons demandé l’éclairage d’Anne-Marie Grapton, religieuse de la Providence de la Pommeraye, et du père Achille Mestre, bénédictin, respectivement secrétaire générale et secrétaire général adjoint de la conférence des religieux et religieuses de France CORREF.Les vocations tardives entrée à 50,60, 70 ans ne sont plus rares avec l’allongement de la y a le cas fameux de la famille de Vogüé à l’abbaye Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire Yonne. Adalbert de Vogüé 1924-2011 y était moine. Son père banquier, le marquis Melchior de Vogüé 1893-1965 l’y a rejoint en 1955, tandis que sa mère, Geneviève Brincard 1898-1974 entrait à l’abbaye bénédictine de Saint-Louis-du-Temple de Vauhallan Essonne. Tous les trois sont enterrés à l’abbaye de la voulez mêler durablement prière et mission Rapprochez-vous d’un institut de vie apostolique ou d’une communauté nouvelle dont vous appréciez le charisme et les personnes. Demandez à rencontrer leur supérieure pour parler de votre désir et écouter ses conseils. Vous pourrez participer à leur action, partager des temps de prière avec leurs membres consacrés.— La liste des instituts de vie et des monastères par familles spirituelles sur le site de la CORREF.— Les principales communautés nouvelles. Devenir oblate. Rattaché à une grande famille monastique, vous en partagez la prière, des rencontres communautaires tout en poursuivant votre vie quotidienne…— Quelques exemples les oblats bénédictins, les missionnaires oblats de Marie immaculée, les laïcs cisterciens, etc. Rejoindre un béguinage. Apparus à la fin du XIIe siècle, les béguinages se développent en Europe du Nord Flandres, Allemagne, Angleterre et nord de la France. Depuis quelques années, le mot béguinage » réapparaît pour désigner des habitats groupés pour seniors autonomes, à dimension spirituelle ou non, répondant à une double demande ne pas vieillir seul et éviter la maison de retraite. Aujourd’hui, des hommes et des femmes saisis par Dieu cherchent un style de vie centré sur l’oraison, la méditation et l’étude théologique, mais qui leur permette d’assumer leurs responsabilités dans ce monde et qui soit compatible avec un certain degré d’autonomie », souligne le P. Jean-Claude Lavigne, assistant de la Province dominicaine de France, qui réfléchit à l’avenir de la vie d’initiatives spontanées, il n’existe pas actuellement de recensement des béguinages chrétiens en France. Le portail gouvernemental pour les personnes âgées propose une fiche voulez passer plusieurs mois en alliant prière et mission Les instituts et communautés nouvelles proposent de consacrer plusieurs mois à la vie contemplative et à la mission. Ces initiatives se regroupent sous le vocable Une année pour Dieu ».— Pour en savoir plus, appelez le service des vocations de votre êtes attirée par la vie contemplative Si vous sentez un appel à la vie contemplative comme religieuses ou religieuses, c’est le père abbé ou la mère abbesse qu’il faut rencontrer pour en discuter. Vous pouvez aussi contacter le service des vocations de votre diocèse. Ce choix implique d’être au clair avec des questions comme suis-je prêt à abandonner mes biens ? À quitter ma famille ? Suis-je à l’aise pour mener une vie communautaire et travailler de mes mains ? Si vous voulez simplement partager le quotidien des moines et moniales sans passer de l’autre côté de la clôture, vous pouvez devenir un familier ». Ce sont des laïcs, qui vivent au monastère, partagent la prière, les travaux quotidiens mais sans prononcer de vœux. Parlez-en au responsable du monastère dont vous vous sentez proche.– La liste des instituts de vie et des monastères par familles spirituelles sur le site de la CORREF.
Marcel NEUSCH, assomptionniste, responsable de la formation "Avant tout, vivez unanimes à la maison, ayant une seule âme et un seul cœur tournés vers Dieu" St Augustin, Règle "Assomptionnistes, nous sommes des religieux vivant en communauté apostolique..." Règle de vie, §.1 Si la requête de vie communautaire est une constante aujourd’hui, tant chez les jeunes qui se présentent dans les séminaires que chez ceux qui frappent aux portes des monastères ou des communautés religieuses, elle est généralement très forte chez les candidats à la vie assomptionniste. Les deux textes cités en exergue, l’un tiré de la Règle de saint Augustin, l’autre du premier paragraphe de notre Règle de vie, soulignent aussi que la vie communautaire est la condition sine qua non d’une vie à l’Assomption. Il n’est donc pas surprenant qu’un jeune qui aspire à la vie religieuse à l’Assomption mise en priorité sur la communauté, ou découvre celle-ci très vite comme une dimension constitutive de la vie religieuse. Les considérations qui suivent commenceront par présenter, à l’état brut, la "requête de vie communautaire" telle que les jeunes eux-mêmes l’ont exprimée. Il ne s’agit donc pas des simples impressions d’un "formateur" mais des résultats d’un sondage réalisé auprès des jeunes actuellement engagés dans la vie religieuse à l’Assomption. Une deuxième partie portera sur les exigences qu’une telle requête contient pour les formateurs. Il va de soi que je ne parle ici que de la France, et qu’en ce qui concerne d’autres jeunes en formation, notamment au Zaïre et à Madagascar, des nuances seraient à apporter. > LIBRE EXPRESSION DES JEUNES RELIGIEUX EN FORMATION Avant de donner la parole aux jeunes, il est important d’attirer l’attention, en ce qui concerne l’Assomption, sur trois points 1. Les jeunes en formation en France, depuis le postulat jusqu’à l’ordination, représentent une trentaine ces chiffres traduisent à la fois un net recul par rapport aux années fastes, mais aussi une reprise, après la période de crise qui a suivi mai 68. 2. Il y a eu, depuis le Concile, une redécouverte du charisme de la vie religieuse, ce qui s’est traduit par une dissociation entre sacerdoce et vie religieuse. Plusieurs de ces jeunes n’envisagent pas le sacerdoce. 3. Pour leur formation, les jeunes sont dispersés dans les différentes communautés, sauf pendant le noviciat -, et ils bénéficient de la formation d’institutions diverses, surtout universitaires. Voici maintenant les sept questions que je leur ai posées. I - EN VENANT A 1’ASSOMPTION, LES ATTENTES COMMUNAUTAIRES TENAIENT-ELLES UNE PLACE IMPORTANTE DANS TA DEMARCHE ? "Absolument, c’est-à-dire que sans attentes communautaires, je n’aurais jamais rencontré 1’Assomption, puisque c’est à cause même de ce désir je vivais déjà en communauté laïque que je suis arrivé pour vivre la communauté, la prière, l’accueil, la mixité homme/femme et laïc/religieux..." "Ayant cheminé depuis l’âge de 15 ans avec des communautés charismatiques, je suis marqué par ce que l’on appelle le renouveau communautaire. Cela s’est manifesté chez moi par la nécessité de ne plus cheminer seul ’On ne devient pas un saint tout seul’ Daniel Ange. L’Assomption, découverte à 20 ans, répondait à mes attentes un lieu de vie avec un certain esprit de famille fait d’ouverture, de sens de l’accueil, de partage des différences. La vie commune m’a fait découvrir certains traits nécessaires pour le bien-vivre-ensemble franchise, cordialité, initiative. Vivre en commun m’est apparu comme un choix de vie évangélique pertinent ’Voyez comme ils s’aiment !’ face à une société individualiste." Pour beaucoup, la vie communautaire a été "le facteur déterminant". Pourtant, disent certains, la communauté "n’a pas été à l’origine de mon choix. Il s’agissait pour moi de faire le point sur ma vie avant un engagement professionnel et d’apprendre à prier. La communauté m’a été présentée comme un lieu où je pouvais concilier discernement, prière et poursuite de mes études. Je ne savais pas ce qu’était la vie communautaire...". "La communauté est devenue peu à peu un chemin d’évangélisation personnelle et d’ouverture aux autres, un lieu de vérification de l’aptitude à vivre avec d’autres il s’agissait pour moi de ’dépasser l’utopie communautaire’ ; elle a été un ’chemin d’ouverture et de mission’". II - CES ATTENTES ETAIENT-ELLES PRIORITAIRES OU FAISAIENT-ELLES NOMBRE AVEC D’AUTRES ATTENTES ? Si, pour la plupart, l’attente communautaire était prioritaire, elle n’était pas exclusive d’autres attentes. On vient de le voir, pour certains, la communauté est d’abord apparue comme un lieu où l’on cherche ensemble à discerner. "En y réfléchissant bien, je dois avouer que l’attente de vie communautaire n’a pas été prioritaire dans mon désir de venir à l’Assomption. Je suis plutôt venu pour faire le point sur ma vie, réfléchir sur un éventuel choix de vie, et ce pourquoi pas avec d’autres personnes en recherche." Pour ceux qui ont fait une expérience assez longue de vie communautaire, des attentes plus précises se font jour, telles que l’approfondissement spirituel, l’ouverture, l’accueil, la mission, etc. "L’attente communautaire pourrait se dire en termes de lieu d’Eglise où l’on essaie de vivre quelque chose de l’Evangile. L’important est le ’ensemble’". Voici, pour illustrer ces dimensions, deux témoignages "La vie communautaire m’apparaît comme le moyen le plus simple d’éviter les illusions pour que ma vie soit centrée sur le Christ. Elle exige la prière commune et personnelle, le partage des points de vue et des engagements de chacun, un pôle de décision aussi. L’accueil est un élément essentiel, un critère d’ecclésialité.." "J’ai trouvé à l’Assomption des convictions nées d’expériences antérieures, principalement dans deux directions La recherche de l’unité ’Dans un monde divisé, la communauté assomptionniste témoigne que le Christ est vivant au milieu de nous et fait notre unité pour l’amour de l’évangile". Le souci d’annoncer Jésus-Christ Dire sa foi haut et fort va de pair avec la construction d’un monde plus juste et fraternel, ce qui se traduit par le recours aux moyens modernes de communication et le travail avec les laïcs. III - QUELS SONT POUR TOI LES ELEMENTS CONSTITUTIFS D’UNE COMMUNAUTE ASSOMPTIONNISTE ? CES ELEMENTS SONT-ILS EFFECTIVEMENT VECUS ? "Dans l’Esprit de l’Assomption, il y a le primat de la vie fraternelle. D’une communauté à l’autre, il peut y avoir des différences. Il n’en demeure pas moins que j’ai souvent retrouvé dans différentes communautés une simplicité de vie, un grand sens de l’accueil, une ouverture sur le monde, etc." Ces mêmes éléments sont soulignés surtout par les plus anciens qui les ont découverts et intégrés au cours de la formation. Ainsi, l’accent est mis sur unité de lieu ; prière office, eucharistie, adoration commune, retraites communautaires ; temps d’échange effectif ; esprit franc, ouvert, simplicité, cordialité, liberté ; référence à l’Institut supérieurs, religieux ; l’ouverture de la communauté par l’accueil celui-ci doit être adapté au style de chaque communauté, mais "il faut que l’extérieur perçoive le religieux sur fond communautaire, en sorte que la communauté devient le lieu du témoignage évangélique ; solidarités selon les besoins de l’Eglise, de la société..." "Les vœux, en radicalisant les points majeurs de la vie religieuse, font d’elle un rappel de ce que tout baptisé est appelé à vivre c’est une sorte de parabole de la communauté chrétienne. Elle devient ainsi une sorte de mémoire évangélique, avec ses béatitudes... Elle n’existerait pas sans le don de Dieu reçu et accepté. C’est pourquoi, la vie religieuse est témoignage en elle-même... et aussi sujette à l’hypocrisie quand elle oublie qu’elle se reçoit d’un autre ou pense qu’elle est un chemin d’excellence... pour les meilleurs !" IV - COMMENT CONCILIER LES EXIGENCES DE LA VIE COMMUNAUTAIRE AVEC LES AUTRES ASPECTS DE LA VIE ASSOMPTIONNISTE, TEL QUE LA DIMENSION APOSTOLIQUE ? "Il ne s’agit pas de conciliation, mais d’exigence. Vivre en communauté, c’est vivre en relation avec le monde et l’Eglise. Comme pour le reste, l’apostolat d’un religieux n’est pas individuel, même si c’est lui et pas un autre qui fait ceci ou cela... La vie apostolique est davantage la conséquence d’un choix de vie que sa raison d’être si la vie communautaire pâtit exagérément des contraintes de la vie apostolique, cette vie apostolique a de fortes chances de ne plus être véritablement assomptionniste... Je crois que la vie ensemble est difficile et que, sous prétexte d’apostolat, on trouve facilement un moyen d’y échapper !" "Notre spiritualité augustinienne nous invite à faire le va et vient entre vie communautaire et mission apostolique. Cela demande une responsabilité réelle, une discipline de vie personnelle et communautaire, des structures de dialogue entre jeunes, avec les supérieurs, des communautés où se vit réellement l’accueil des différences, etc. Ce respect de l’autre dans sa différence est la source de l’amour augustinien..." La plupart des jeunes étant en période de formation n’a pas réellement éprouvé la difficulté à concilier les différents aspects de la vie religieuse. Mais, comme ils vivent dans des communautés où l’engagement apostolique a souvent le pas sur le "vivre ensemble", ils ne manquent pas d’imaginer des solutions pour parvenir à un tel équilibre."Le moyen de concilier les exigences communautaires avec les autres aspects est d’équilibrer les religieux dans une communauté selon leur apostolat et leur disponibilité. Une communauté où tous les religieux exercent un travail professionnel à plein temps devrait être assez nombreuse environ 10 pour qu’on puisse parler de communauté de vie sans que cela fasse ’dortoir’". V - COMMENT ACCORDER LIBERTE PERSONNELLE, RESPONSABILITE ET COMMUNAUTE ? On s’est beaucoup plus senti concerné par cette question que par la précédente, car elle touche à la liberté de chacun. Si l’on reconnaît le bien-fondé des normes, on veut aussi que la liberté de chacun soit pleinement respectée, sans trop envisager les conflits qui peuvent survenir, "il est nécessaire qu’on se plie a des normes, des conventions... Mais cela n’exclut pas la liberté personnelle, notre esprit critique et notre jugement. La communauté doit garder sa diversité, elle n’implique pas la perte de personnalité..." "Je crois que cet accord est possible, Dieu merci. Cela exige une bonne structuration personnelle. Toutefois, les dangers de dé-responsabilisation existent aussi, notamment durant tout le temps de la formation où nous pouvons être tenus loin des contraintes matérielles et économiques auxquelles les hommes et les femmes de notre temps sont confrontés." "Le ’communisme’ n’est pas le ’collectivisme’ ! La communauté - et le responsable de communauté a pour tâche essentielle d’y veiller - doit permettre à chacun de grandir et d’être respecté... Le fait que les responsables de notre congrégation aient un mandat limité permet un roulement bénéfique De même, changer de communauté assez fréquemment favorise les remises en question de certaines habitudes communautaires déshumanisantes. L’apostolat aide aussi chacun à se situer en homme responsable." "La liberté personnelle me semble un point assez fort à l’Assomption. Je ne crois pas que ce soit une démission, un laisser-faire, mais une réelle confiance des uns et des autres. Une certaine’ sagesse aussi, peut-être, liée sans doute à notre esprit d’initiative... L’obéissance est encore, je pense, une victoire de la liberté une liberté personnelle plus essentielle face à une liberté personnelle moins essentielle." VI - UNE VIE COMMUNAUTAIRE EST-ELLE COMPATIBLE AVEC L’ACCUEIL ET L’OUVERTURE SUR L’EXTERIEUR ? "L’Eglise a besoin aujourd’hui de lieux de vie où le témoignage est visible. Ensuite l’ouverture est nécessaire pour que la communauté ne végète pas dans des problèmes insignifiants, mesquins, de relations trop humaines. L’Evangile suppose la communication." "Cette question semble en cacher d’autres plus profondes. Je pense en particulier à la peur et au désir de tranquillité... Ne pas vouloir être dérangé se comprend parfaitement. Ne jamais vouloir accepter de l’être peut traduire une certaine suffisance on ne ressent pas le besoin de l’autre. Il y a sans doute aussi quelque chose de l’ordre de la chasse gardée, d’un pouvoir à maintenir. Une façon de la vérifier serait de regarder comment on travaille avec les ’laïcs’" "Le dialogue dans la liberté, à partir d’un enracinement profond en Jésus-Christ, peut aider la communauté à trouver l’équilibre toujours délicat entre différents binômes vie commune/vie apostolique ; exigence communautaire/liberté personnelle ; communauté/ouverture sur l’extérieur ; anciens/ jeunes, etc. Il n’y a pas de communauté idéale. Des choix s’imposent constamment pour garder le bon cap..." VII - LA DIVERSITE DES GENERATIONS DANS UNE COMMUNAUTE EST-ELLE UN HANDICAP OU UNE CHANCE ? "Il est vrai qu’il est parfois difficile de cohabiter avec des personnes qui ont 30, 40 ou 50 ans de plus... Le conflit des générations est inévitable. Mais je n’irai pas parler de handicap. Nous pouvons profiter de ce qu’ils ont à nous révéler sur la vie, sur Dieu, sur la vie religieuse..." "Ce n’est pas un handicap, à condition qu’un minimum d’équilibre soit respecté. Après, ce n’est qu’une question de personnes. C’est une chance dans une communauté où les jeunes sont en formation et sont responsabilisés. Rien de plus infantilisant qu’une grande maison de formation où la responsabilité est déchargée sur l’encadrement..." "La diversité des générations est d’abord une chance s’il existe un dialogue vrai et confiant. Les aînés font bénéficier les plus jeunes de leur expérience et de leur fidélité, et ils leur permettent de se situer dans une histoire. Les plus jeunes peuvent aider les aînés à se renouveler et à mieux comprendre les changements de mentalités qui s’opèrent..." "En tant que jeune religieux, je puis affirmer que vivre avec des aînés représente à la fois une richesse et un risque. Une richesse, car le témoignage de religieux fidèles à leur vocation, heureux de leur choix, est un encouragement et un désir de poursuivre mon cheminement. Un risque, car si ces ’aînés’ sont assez nombreux, la communauté peut avoir certaines réticences aux changements. Si les jeunes ne sont pas soutenus, ils peuvent se fondre dans un certain conformisme, au risque de ne pas pouvoir déployer leur sensibilité spirituelle et communautaire..." "La diversité n’est pas facile à vivre. Il faut s’attendre, s’écouter, se respecter, relativiser sa vérité... Est-ce un handicap ? L’autre me gêne toujours quand je le rencontre vraiment. La difficulté avec l’autre gênération, c’est que je ne peux pas maquiller les divergences. Il faut donc se mettre d’accord, et c’est une chance pour la vie ensemble. C’est encore une chance au sens de la tradition les plus âgés nous transmettent ce que nous n’aurions jamais pu comprendre aussi bien autrement. Derrière des façons de vivre différentes, il y a des hommes croyants. Chance encore de se donner mutuellement des raisons de vivre.." > EXIGENCES POUR LES RESPONSABLES DE LA FORMATION Ayant ainsi livré à l’état brut les réactions des jeunes, il me semble qu’en tant qu’Institut accueillant des jeunes, nous avons comme tâche de veiller à ce que les conditions soient réunies pour que la transformation soit de qualité. Partant de mon expérience, je voudrais souligner les conditions d’une croissance du jeune religieux puisque la formation n’a pas d’autre but que d’aider chacun à devenir pleinement lui-même. J’aborderai trois aspects 1 . les attraits de la vie religieuse 2. les dimensions d’une communauté religieuse 3. les chances offertes par la communauté pour la formation. 1 - Les attraits de la vie religieuse Si dans les attraits pour la vie religieuse, la requête communautaire est prioritaire, il est clair qu’un tel attrait doit faire l’objet d’un discernement. Parmi les critères à prendre en compte, je voudrais attirer l’attention sur trois d’entre eux. Premier critère l’âge. L’âge avancé est souvent l’indice de retards affectifs et de déséquilibres persistants, difficilement compatibles avec la vie communautaire. Deuxième critère la capacité de solitude. L’un des critères les plus surs qui permet de dire si un jeune est apte à la vie commune est sa capacité de vivre une réelle solitude. Le besoin excessif de la présence d’autrui doit susciter la vigilance. Troisième critère la capacité de relation, ce qui ne contredit pas le critère précédent, mais le complète. En ce qui concerne maintenant la vie religieuse, je me bornerai à indiquer les trois attraits qui en sont constitutifs. ATTRAIT MYSTIQUE Une foi vécue suppose d’entrer en relation personnelle avec le Christ sur lequel on veut miser sa vie. C’est la dimension mystique. Elle se traduit par la prière, la méditation, ce que les spirituels du XVIIème siècle appelaient le "commerce" avec Dieu. On peut dire que c’est l’une des forces de nos jeunes ils aiment la prière, du moins la prière communautaire. Ce que je constate, c’est que, en France, ils ont au départ une religion d’abord "mystique", sinon fusionnelle. Ayant souvent découvert la vie chrétienne après le choc d’une conversion, à l’intérieur de groupes de prière plus ou moins marqués par le renouveau, la dimension d’intériorité est très forte, prioritaire même, au point que les autres dimensions sont parfois inaperçues. Par là s’explique aussi que plusieurs des jeunes qui étaient en discernement chez nous et même déjà au noviciat aient choisi de s’orienter vers des instituts contemplatifs. ATTRAIT COMMUNAUTAIRE La foi vécue suppose une dimension communautaire, ce qui ne veut pas dire aussi institutionnelle. Que l’attrait communautaire soit venu en premier dans le sondage réalisé plus haut s’explique par la question posée. Il n’est pas indépendant de l’attrait mystique. Certes, la vie communautaire est attractive pour les jeunes mais, comme je viens de le dire, une vie communautaire où la priorité est souvent donnée à l’aspect "communionnel", plus qu’à l’aspect institutionnel, ce qui se traduit par la difficulté d’assumer la dimension conflictuelle et engendre parfois des déceptions. S’ils refusent légitimement le modèle de la cohabitation, ils ont une soif de convivialité, souvent excessive, qui se corrige avec les années. Mais c’est un fait qu’ils sont plus communionnels qu’institutionnels. La formation à la vie religieuse consiste à découvrir la réalité de la communauté avec ses limites et même ses échecs, et donc à en éliminer les auréoles. ATTRAIT APOSTOLIQUE Une foi vécue a une dimension apostolique, c’est à dire qu’elle comporte l’exigence d’ouverture, d’accueil de l’autre, bref de témoignage. Cette dimension fait partie intégrante de toute vie religieuse, indépendamment d’un appel au sacerdoce. On ne peut pas dire que ce soit l’attrait le plus fort chez le jeune. On a constaté un peu partout la désaffection pour les institutions de vie apostolique et un attrait pour les formes monastiques, qui valorisent mieux les deux autres dimensions, mystique et communautaire. Entrer à l’Assomption, c’est accepter une certaine forme d’apostolat, que l’on soit prêtre ou non. En entrant à l’Assomption, les jeunes n’ont pas toujours une expérience d’Eglise, et ils ont besoin de découvrir cette dimension au cours de leur formation. En conclusion, on peut retenir 1. que la vie religieuse à l’Assomption doit harmoniser ces trois attraits. Il n’y a pas à brimer l’attrait particulier d’un jeune, mais on ne peut pas accepter quelqu’un pour qui l’un de ces attraits serait inexistant. 2. chacune de ces dimensions doit subir des purifications qui n’a pas éprouvé l’aridité spirituelle est exposé à bien des illusions ; qui n’a pas affronté la conflictualité n’a pas encore découvert ce qu’est la communauté ; qui n’a pas rencontré la détresse humaine n’a pas encore la tripe apostolique. Ce sont là des tests de l’authenticité de la vie religieuse. C’est pourquoi d’ailleurs 3. la durée est un élément indispensable de la formation. Ce qui ne se fait pas avec le temps, le temps le défait ! 2 - Les dimensions d’une communauté religieuse Les jeunes et moins jeunes qui entrent à l’Assomption en France sont de jeunes adultes, déjà riches d’une expérience humaine importante, universitaire ou professionnelle. Le fait d’être en face d’adultes est une chance, mais une chance qui ne doit pas conduire à les idéaliser. Nous avons à entrer dans un processus de formation qui doit intégrer ce passé, souvent blessé, en tous les cas riche d’expérience. Le réalisme du regard évitera le surinvestissement tendance à faire porter au jeune tout le poids de l’avenir ; mais il évitera aussi la sous-évaluation les traiter comme s’ils n’avaient pas de passé. Etre reconnu tel qu’on est et pour ce qu’on est, est toujours source de joie pour le jeune. L’institut qui a la responsabilité de la formation trouve dans la communauté le meilleur point d’appui UNE COMMUNAUTE SANS IDEALISATION Il faut d’abord éviter d’idéaliser la communauté qui accueille le jeune, au besoin enlever au jeune sa propre idéalisation en jouant la carte du réalisme. S’il vient avec l’idée qu’il a choisi le meilleur institut existant aujourd’hui, il fait certainement fausse route car il est prisonnier d’une idéalisation qu’il risque de payer cher. Présenter l’institut dans sa réalité concrète, avec la diversité même des communautés qui le composent, c’est mettre le jeune en situation de responsabilité de son propre avenir. En France surtout, où le vieillissement gagne du terrain, nous avons constamment à faire un effort pour que l’Assomption soit perçue telle qu’elle est, dans ses germes de mort tout comme dans ses germes de vie. Il est à présenter comme un espace où il est possible de vivre en plénitude un engagement de vie religieuse, mais qui ne dispense pas des risques de l’avenir. UNE COMMUNAUTE RICHE D’UNE TRADITION En venant dans un Institut, un religieux devient membre d’une communauté de vie, dont aucun aspect ne peut le laisser indifférent. Il va se familiariser avec une histoire qu’il devra assumer, découvrir une tradition, faire la connaissance des hommes qui l’on faite. Cette tradition dont il hérite, non pas pour s’y enfermer comme dans une forteresse, mais pour enrichir sa propre capacité de créativité, doit élargir son horizon. Dans un monde où l’individualisme gagne du terrain, le jeune qui fait le choix de vivre avec d’autres, associe sa vie avec celle d’autres hommes avec lesquels il s’engage à construire un avenir, mais à partir d’un héritage qu’il reçoit. Comme le disait le cardinal MARTY, au moment du centenaire de la mort du fondateur, le Père d’ALZON "vous êtes des héritiers, soyez des fondateurs !". UNE COMMUNAUTE OUVERT L’AVENIR Dans la plupart des Instituts, en France, l’avenir paraît parfois bouché. Il manque entre les jeunes en formation et les formateurs actuels une génération intermédiaire. A l’Assomption, cette tranche intermédiaire n’est pas totalement inexistante, mais elle est mince et s’il faut tabler sur elle, il ne faut pas lui faire supporter trop tôt la responsabilité de l’avenir. Même si l’Institut ne peut pas lui offrir les conditions idéales de la formation, il est important que, en y entrant, le jeune découvre qu’il n’est pas un membre isolé, mais qu’il fait partie d’un corps social dans lequel il a sa place, qui lui offre des possibilités réelles de formation et donc un avenir pour son propre projet de vie à la suite du Christ. Il devra aussi assumer cet écart entre les générations, même si l’Institut doit veiller à ce que cet écart joue d’abord en faveur des jeunes. Sans perspective d’avenir, il n’y a pas d’engagement possible. DONT L’HORIZON EST LE MONDE En entrant à l’Assomption, le jeune découvre aussi l’internationalité, qui est une des formes de la catholicité. Il ne l’éprouve pas seulement quand il voyage et à l’occasion de visites à d’autres communautés dispersées à travers le monde. L’internationalité se vit au présent, là où l’on est, et elle comporte des exigences dès la formation apprentissage des langues étrangères, intérêt pour les autres cultures, ouverture à d’autres sensibilités, rencontre des religieux d’autres provinces, etc. Entrer dans la vie religieuse, ce n’est pas trouver un havre pour son angoisse, mais un port de départ pour aller vers des frères qui ont en charge l’Evangile sur d’autres chantiers et dans d’autres pays. C’est être disposé à quitter son propre pays, bien évidemment aussi sa première communauté. LA COMMUNAUTE, CHEMIN DE SAINTETE La communauté doit enfin proposer un "modèle de sainteté". S’il est vrai que l’on peut créditer les jeunes d’une sensibilité à la fois spirituelle et communautaire, un tel apport initial est un enrichissement pour toute l’Assomption, et souvent une remise en question d’un style de vie trop confortable. L’apport spécifique des jeunes est certainement la qualité de la prière et de la vie fraternelle. Cela ne dispense pas la communauté de proposer un "modèle de sainteté", car une sensibilité spirituelle n’est pas encore une "spiritualité" qui puisse soutenir une vie. A l’Assomption, nous parlons de "sainteté apostolique" sans que le terme ait d’emblée un contenu précis, mais dont on peut dire qu’elle a un triple accent christocentrique, ecclésial et humain, autrement dit, la sensibilité spirituelle, qui est la richesse des jeunes, a besoin d’être triplement décentrée. En parlant de réalisme, il ne s’agit nullement de céder au pessimisme. Avoir un regard réaliste, c’est être capable de mesurer les limites de toutes choses, mais aussi de comprendre les chances qui s’offrent. Les mutations que nous sommes en train de vivre sont un signe de vitalité, donc d’accroissement de la vie. C’est vrai qu’une période de mutation n’est pas facile à vivre. Nous avons à accompagner les jeunes dans leur croissance, celle-ci devant les amener à s’engager en connaissance de cause, ce qui ne veut pas dire à l’abri de tout risque, mais dans le partage d’une communauté de destin qui dépasse leur propre désir. 3 - La communauté comme lieu de formation Un institut qui n’est plus en mesure de former les jeunes qu’il accueille manque à sa mission. Le cadre institutionnel, dont la finalité est d’accompagner le religieux au cours de sa formation, a évolué de façon assez radicale au cours des vingt dernières années. On a même parlé d’éclatement. De fait, les grandes institutions de formation, telles que nous les avons connues à l’Assomption alumnats, noviciats, scolasticats n’ont pas résisté à l’effondrement des chiffres. Il a donc fallu réajuster la formation. Je vais indiquer quelques-unes des possibilités qu’offre la communauté pour la formation. LA COMMUNAUTE EDUCATRICE DU DESIR En premier lieu, la communauté est une éducatrice du désir. Elle doit aider le jeune à discerner sa vocation qui n’est pas nécessairement la vie religieuse, ni à plus forte raison la vie religieuse à l’Assomption. Nous avons là une possibilité neuve d’exercer le désintéressement auquel invite le P. d’ALZON. Etant donnée la diversité des jeunes, cette formation doit être individualisée, ce qui implique, outre l’accueil initial sans préalable - sinon le désir du jeune de s’engager dans une recherche de vie chrétienne -, un accompagnement individualisé. L’individualisation n’est pas à confondre avec une formation qui répondrait à son désir immédiat. Ce désir est lui-même à éduquer et à ajuster aux besoins de l’Eglise et de l’Assomption. La communauté est un des lieux où se fait cette éducation. LA COMMUNAUTE, LIEU DE VERIFICATION En deuxième lieu, la communauté est un temps de vérification. Il existe trois maisons CACHAN, LILLE et STRASBOURG qui ont pour vocation d’accueillir des jeunes en recherche et de faire un premier discernement avec eux. Les jeunes qui s’y présentent ont découvert ces lieux de manière fortuite, mais souvent par le contact avec l’un ou l’autre religieux qui a su lui faire une proposition concrète de vie communautaire. En tous les cas, ces lieux offrent une structure d’accueil qui essaie de prendre en compte les aspirations communautaires du jeune, et de l’aider à découvrir sa propre vocation. Mais toute communauté doit rester un lieu de vérification du choix de vie que l’on a fait. LA COMMUNAUTE, UN LIEU d’APPRENTISSAGE En troisième lieu, le noviciat est par excellence "un temps fort d’initiation pratique et théorique à la vie communautaire", dit la charte de formation qui précise "le jeune entre au noviciat, souvent porteur d’une grande aspiration à la vie commune, avec une part de rêve. Le noviciat doit purifier ces attentes et les approfondir au contact de la tradition communautaire de l’Assomption". Un maître de novices, assisté d’autres religieux, est affecté à plein temps à la formation des novices. Cette autonomie du noviciat est une condition indispensable pour une authentique expérience de vie religieuse. LA COMMUNAUTE, UN LIEU DE RESPONSABILITE En quatrième lieu, après le noviciat, les jeunes sont dispersés dans les communautés constituées de la Province, la règle étant de les mettre au moins par deux, l’affectation à ces communautés se faisant à partir de plusieurs critères sensibilité du jeune, type de formation recherché, équilibre de la communauté, etc. Actuellement, il existe cinq lieux STRASBOURG plusieurs communautés, TOULOUSE, LILLE, LYON. "Le cadre de la communauté étant plus souple, dit la Charte, il sera fait appel à l’initiative du jeune qui devra s’imposer une discipline personnelle pour assurer l’équilibre entre la vie fraternelle, la vie de prière, les études et les engagements apostoliques..." LA COMMUNAUTE, UN LIEU DE CONVIVIALITE En cinquième lieu, la communauté est un lieu de convivialité. Pour remédier à la dissémination des jeunes religieux dans les diverses communautés de la Province, mais aussi pour assurer une sensibilité assomptionniste commune, il est apparu très vite qu’il fallait des espaces de rencontres typiquement assomptionnistes. C’est pourquoi, trois fois dans l’année, tous les jeunes en formation se retrouvent, en commun avec les autres familles religieuses de l’Assomption quatre congrégations féminines dans un but de convivialité et de partage sur les différents aspects de la vie à l’Assomption. D’autres rencontres, moins régulières, ont lieu, soit à l’initiative des jeunes, soit à l’initiative des formateurs. LA COMMUNAUTE, UN LIEU DE CONFRONTATION En sixième lieu, la communauté est le lieu où se réalise la confrontation entre le désir du jeune avec le désir d’une congrégation, dont le formateur est le garant. La liberté authentique réside dans la capacité du jeune à opérer l’ajustement de son propre désir au désir de l’institut. L’avenir qui est à assumer n’est pas seulement le sien propre, mais celui d’un corps social dont il partage la destinée. Aussi, en parlant de responsabilité, je ne dis pas que le jeune doit faire son chemin tout seul. Il doit le faire en mesurant sa responsabilité à la réalité de ce qu’il est et de l’institut dans lequel il entre. * * * A l’Assomption, il existe une commission de formation, nommée par le Provincial, qui fonctionne depuis plusieurs années. Un "formateur", dont le mandat est de trois ans, renouvelable, en assure la coordination. Sa charte est la "Ratio institutionis". Elle se réunit trois fois dans l’année pour faire un bilan des frères en formation, et envisager les orientations de chacun. Il revient à la commission de donner son avis au moment des différents engagements, chacun des membres étant "spécialisé" dans tel ou tel secteur. La commission intervient tout particulièrement au moment où se décident les orientations engageant l’avenir, le cycle des études, le choix de la communauté, l’orientation apostolique, etc. Un tel cadre de formation a l’avantage de la souplesse. La diversité des lieux permet de réaliser une meilleure adéquation entre le religieux et la formation souhaitée pour/par lui. Elle permet aussi des déplacements de religieux d’un lieu à un autre et donc elle offre la possibilité de faire tester le jeune par d’autres communautés. Par ailleurs, le fait d’être dans une communauté non spécifique de formation place le jeune dans un cadre de vie réel, avec des religieux qui ont d’autres engagements. Comparé à ces avantages, les inconvénients sont mineurs et peuvent être corrigés de différentes manières. Par sa responsabilité, le formateur est appelé à être le témoin d’une croissance. Si un jeune ne fait pas cette expérience d’une croissance, il se sent très vite à l’étroit et se replie sur lui-même. Et c’est là un signal d’alarme qu’un formateur ne peut pas ne pas entendre. Quand on a ce privilège de pouvoir accompagner des frères dans cette période de croissance, on est constamment émerveillé, d’abord par l’éclosion de leur vocation, ensuite par leur progrès dans la vie religieuse. Les joies qu’un formateur peut éprouver résultent toutes de cette expérience de témoin privilégié.
Lorsque vous visitez la Grèce, ily a un lieu que vous ne devez manquer sous aucun prétexte Il s’agit des monastères des sont situés dans la préfecture de Thessalie en Grèce centrale et c’est vraiment un endroit à la beauté également l’un des complexes religieux les plus importants du pays. Lorsque vous vous approchezde la ville de Kalambaka, qui est la ville la plus grande la plus proche des Météores, vous apercevez un ensemble d’immenses piliers en grès qui s’élancent vers le ciel. Au-dessus de ceux-ci, vous verrez les célèbres monastères. Permettez-moi de vous relater quelques anecdotes historiques à leur neuvième siècle après un groupe de moines s’est installé dans la zone et a vécu dans les grottes surplombant les masses rocheuses. Ils recherchaient une solitude totale. Au cours des 11ème et 12ème siècles après un État Monastique fut crée dans cette zone. Au début du 14è siècle on trouvait plus de 20 monastères aux Météores. Aujourd’hui, seuls 6 sont survécus et sont ouverts au public. Avertissement Cet article contient des liens signifie que si vous cliquez sur certains liens et que vous achetez par la suite un produit ou un service, je percevrais une petite commission. Comment se rendre aux MétéoresLes monastères des MétéoresOù séjourner à Météores KalampakaOù se restaurer dans les Météores Comment se rendre aux Météores Il existe plusieurs façons de se rendre sur les lieux Les visites guidées Il existe un bon nombre d’excursions d’une journée au départ d’Athènes ou d’autres grandes villes grecques dans lesquelles une escale aux monastères des Météores est incluse. Excursions conseillées depuis Athènes Par le train Veuillez prendre en compte le fait que les trains ne sont pas toujours à l’heure en Grèce – Plus d’informations à propos de cette excursionSi vous avez un peu plus de temps à votre disposition vous pouvez facilement combiner Delphes et les Météores avec ce voyage de 2 jours – Plus d’informations sur cette excursionPrendre un taxi Vous pouvez également engager un taxi pour un ou plusieurs jours afin de vous conduire sur les destinations touristiques ainsi qu’au Météores. Louer une voiture Vous pouvez louer un véhicule et vous rendre seul aux monastères des Météores depuis n’importe quelle ville du pays. Vous n’aurez besoin que d’un GPS ou de l’application google maps installée sur votre smartphone. Il faut compter 360 km depuis Athènes et 240 Km depuis Thessalonique Prendre le train Vous pouvez prendre le train au départ d’ Athènes ou de la plupart d’autres grandes villes grecques jusqu’à la ville la plus proche des Météores Kalampaka. Si vous souhaitez des informations complémentaires sur les itinéraires et les horaires, cliquez ici. Par les transports en commun ktel Vous pouvez prendre le bus depuis de nombreuses villes réparties sur tout le territoire comme Athènes, Thessalonique, Volos, Ioannina, Patras, Delphes et prendre la correspondance vers Kalampaka. Pour des informations complémentaires sur les itinéraires et horaires, cliquez ici Une fois que vous aurez atteint la ville de Kalampaka vous aurez le choix entre prendre un taxi pour vous rendre aux monastères, faire une randonnée ou réserver l’une des nombreuses visites guidées proposées par Meteora Thrones Travel Center. Comme je l’ai déjà précisé, il ne reste que 6 monastères en activité. Je suis parvenue à en découvrir 5 sur les 6 lors de ma dernière visite, car le sixième était fermé durant les deux jours de mon séjour. Le monastère du Grand Météore Le monastère du Grand Météore a été fondé au 14ème siècle après par un moine originaire du Mont Athos; Il est aujourd’hui le plus ancien, le plus grand et le plus haut 615 mètres d’altitude des 6 monastères encore en peut y découvrir beaucoup de choses l’enceinte de l’église de la Transfiguration, il y a par exemple des icônes et des fresques datant du 14ème au 16ème siècle. On y trouve également un très beau musée ouvert au public, les cuisines du monastère, les caves à vins et la sacristie dans laquelle sont entassés et conservés les ossements des anciens résidents. Jours et heures d’ouvertureDu 1er Avril au 31 Octobre le monastère est fermé le mardi. Heures de visite 0900 – 1700. Du 1er Novembre au 31 Mars le monastère est fermé le mardi et le Mercredi. Heures de visite 0900 – 1500. Le monastère de la Sainte Trinité Le monastère de la Sainte Trinité est très connu, grâce à son apparition dans le film de James Bond Rien que pour vos yeux ». Malheureusement, c’est le seul que je n’ai pas pu visiter car il était fermé durant mon séjour. Il a été érigé au 14ème siècle et jusqu’en 1925 son accès ne pouvait se faire que par un système de treuillage; les fournitures étaient acheminées par paniers. Après 1925, 140 marches ont été sculptées dans la pierre le rendant beaucoup plus accessible. Ce monastère a été pillé durant la Seconde Guerre mondiale et tous ses trésors ont été emportés par les Allemands. On y trouve néanmoins quelques fresques des 17ème et 18èmes siècles qui valent le détour et un évangile avec une couverture d’argent imprimé à Venise en 1539 qui a échappé au pillage. Jours et horaires d’ouvertureDu 1er Avril au 31 Octobrele monastère est fermé le jeudi. Heures de visite 0900 – 1700. Du 1er Novembre au 31 Mars le monastère est fermé le Mercredi et le jeudi. Horaires d’ouverture 1000 – 1600. Le monastère de Roussanou Ce monastère, habité par des nonnes a été fondé au 16ème repose sur un rocher peu élevé et est très facilement accessible par un pont. Il y a de très belles fresques à contempler à l’intérieur de l’église. Jours et horaires d’ouvertureDu 1er Avril au 31 OctobreLe monastère est fermé le mercredi. Heures de visite0900 – 1745. Du 1er Novembre au 31 Mars le monastère est fermé le Mercredi. Heures de visites0900 – 1400. Le monastère Saint-Nicolas d’Anapafsas Ce monastère fondé au début du 14ème siècle, est très célèbre pour les fresques du peintre crétois Theophanes Strelitzas qu’il abrite. A ce jour, un unique moine occupe les lieux. Jours et horaires d’ouvertureDu 1er Avril au 31 OctobreLe monastère est fermé le de visites0900 – 1530. Du 1er Novembre au 31 Mars le monastère est fermé le vendredi. Heures de visites 0900 – 1400. Le monastère de Varlaam Il a été fondé en 1350par un moine du nom de Varlaam. Ilvivait seul sur ce rocher, et après son décès le monastère est resté à l’abandon jusqu’en 1517, date à laquelle deux riches moines venus de Ionanina ont escaladé le rocher et fondé le monastère. Ils ont, à la fois rénové et construit de nouvelles parties. Il est assez incroyable d’imaginer qu’il leur ait fallu 20 ans pour rassembler et acheminer tout le matériel au sommet par un système de treuillage mais seulement 20 jours pour finaliser la construction . Dans l’enceinte du monastère on trouve de magnifiques fresques, un musée avec des objets sacrés et une gigantesque citerne qui permet de stocker jusqu’à 12 tonnes d’eau de pluie. Jours et horaires d’ouvertureDu 1er Avril au 31 OctobreLe monastère est fermé le de visites0900 – 1600. Du 1er Novembre au 31 Mars le monastère est fermé le Jeudi et le vendredi. Heures de visites0900 – 1500. Le monastère de Saint-Stéphane Il fut fondé en 1400 après et c’est le seul monastère visible depuis Kalampaka. Il est habité par des nonnes et est très facile d’accès. On peut y contempler quelques fresques et un petit musée qui abrite des objets sacrés. Jours et horaires d’ouvertureDu 1er Avril au 31 OctobreLe monastère est fermé le lundi. Heures de visite0900 – 1330 et 1530- 1730. Du 1er Novembre au 31 Mars le monastère est fermé le lundi. Heures de visites 0930 – 1300 et 1500- 1700. Il existe deux manières de se rendre aux Météores; La première est de passer par Kalampaka et la seconde de traverser Kalampaka et d’entrer aux météores par le village de Kastraki. C’est cette seconde manière qui permet d’emprunter la route la plus impressionnante. Si vous êtes limité par le temps, le monastère que vous devez absolument visiter est celui du grand Météore. C’est le plus grand et de nombreuses parties sont accessibles au public. Pour découvrir la plupart des monastères, sachez que vous devrez monter un certain nombre de marches pour y accéder et que vous devrez être correctement vêtu. Les hommes ne doivent se présenter en shorts et les femmes doivent revêtir des jupes longues. C’est la raison pour laquelle des jupes longues sont données aux femmes à l’entrée de chacun des monastères. En dehors de la visite des monastères, il y a beaucoup de choses à faire dans la zone des Météores. En tout premier lieu, vous pouvez vous relaxer et profiter du magnifique paysage. On y trouve également de nombreuses activités de plein air comme l’escalade, la randonnée sur l’un des multiples sentiers ou encore le VTT ou le rafting. Où séjourner à Météores Kalampaka La plupart des hôtels situés sur les îles Météores sont plutôt anciens mais je peux malgré tout vous en conseiller quelques-uns. Le Meteora Hotel à Kastraki est un lieu magnifiquement agencé avec des lits douillets et une vue spectaculaire sur les falaises. Il est situé un peu en retrait de la ville mais reste accessible depuis celle-cien seulement quelques minutes de voiture. Cliquez sur ce lien pour plus de détail. L’hôtel Doupiani House possède également des vues fabuleuses et ne se situe qu’à quelques enjambées du monastère Agios Nikolaos Anapafsas. Il se trouve en périphérie de la ville de Kastraki. Cliquez sur ce lien pour plus de détail. L’hôtel familial et traditionnel Hotel Kastraki est situé dans la même zone, juste sous les rochers du village de Kastraki. Il est un peu plus ancien que les deux précédents mais les commentaires élogieux des récents clients affirment tous que c’est un endroit confortable et accueillant. Cliquez sur ce lien pour plus de détail. A Kalambaka, le Divani Meteora est un hôtel confortable et spacieux qui met à disposition un restaurant et un bar sur place. Le complexe est situé au centre de la ville le long d’une route très fréquentée ce qui peut se révéler un handicap pour une certains clients. Toutefois, c’est vraiment un lieu pratique pour se rendre en ville à pied. Cliquez sur ce lien pour plus de détail. En fin, le meilleur des hôtels se trouve à près de 20km des falaises des Météores. Le Ananti City Resort est à la fois un hôtel de luxe et un spa situé sur les collines à la périphérie de Trikala. Pour les touristes qui souhaitent admirer les falaises ce n’est peut être pas le meilleur choix mais Trikala est la plus grande ville de la région et c’est une destination vraiment très prisée pour un week-end prolongé. Si vous venez ici en voiture, Ananti City Resort est vraiment le lieu idéal pour séjourner. Cliquez sur ce lien pour plus de détail. Où se restaurer dans les Météores Le restaurant Panellinio est une taverne traditionnelle située sur la place centrale de Kalampaka. J’avais déjeuner là-bas il y a quelques années, lors de ma précédente excursion dans les météores. À l’époquej’avais dégusté une moussaka dont je me souviens encore. A l’occasion de mon récent séjour, j’ai demandé conseil dans mon hôtel sur les lieux où me restaurer dans Kalampaka et on m’a re-dirigé vers cette même adresse en me précisant que la nourriture y était excellente et les prix vraiment très abordables. Vous-êtes vous déjà rendus aux Météores? Qu’y avez-vous préféré?
faire entrer un religieux dans un monastère